Résumé Sonnet 19 et description du guide d’étude


Shakespeare apparaît dans Tous les poèmes

Il n’y a pas de personnages identifiables par leur nom dans ces sonnets, sauf dans quelques cas notés ci-dessous où Shakespeare juxtapose son propre nom, « Will », avec l’utilisation de « will », comme un jeu de mots sur la volonté.

Rose apparaît dans Sonnet 109

Le seul exemple d’un nom personnel, autre que Will, est Rose qui apparaît dans la dernière ligne du Sonnet 109. Shakespeare dit que Rose est tout ce qui compte pour lui dans l’univers. Le lecteur peut probablement supposer que c’est le nom de son amante.

Le cœur apparaît dans de nombreux poèmes

Comme il s’agit de poèmes d’amour, le motif du cœur assume presque le rôle d’un personnage. Non seulement son propre cœur, mais aussi ceux de son (ses) amant (s) sont des forces motrices majeures dans de nombreux sonnets. Sonnet 24 : « Mon œil a joué le peintre et a durci/La forme de ta beauté dans la table de mon cœur… Pourtant, ces yeux rusés veulent honorer leur art/Ils dessinent mais ce qu’ils voient, ne connaissent pas le cœur. »

Eyeapparaît dans de nombreux poèmes

Shakespeare utilise « œil » pour désigner la vision, qui peut souvent être en contradiction avec la réalité lorsque l’on est amoureux, mais aussi pour désigner la perception. Parfois, il joue les deux significations différentes l’une contre l’autre, comme dans Sonnet 69 : « Ces parties de toi que l’œil du monde voit/Ne veulent rien que la pensée des cœurs puisse réparer/En voyant plus loin que l’œil ne l’a montré/Ils regardent dans la beauté de ton esprit/Et qu’en devinant ils mesurent par tes actes ; Alors, churls, leurs pensées, bien que leurs yeux aient été bons/A ta belle fleur ajoute l’odeur fétide des mauvaises herbes. »

La beauté apparaît dans de nombreux poèmes

La beauté, qu’elle soit masculine ou féminine, joue un grand rôle dans les sonnets. Shakespeare loue sa bien-aimée pour sa beauté, dit que le monde n’apprécie pas sa beauté intérieure, mais prévient que sa beauté extérieure s’estompera et qu’elle devrait donc avoir son enfant.

Cupidon apparaît dans Sonnet 153

Cupidon, le dieu de l’amour, vient au premier plan dans ce sonnet alors que Shakespeare récite brièvement l’histoire de Cupidon endormi près d’un feu alors que Diane, déesse de la chasse, qui a pris un bâton brûlant et l’a plongé dans un lac de montagne froid qui est devenu chaud — un bain pour guérir les malades.

L’imperfection apparaît dans plusieurs poèmes

Dans plusieurs cas, Shakespeare pointe un doigt accusateur sur son amant et la réprimande pour un défaut de caractère – comme l’infidélité – pour pointer le doigt vers lui-même et admettre qu’il a le même défaut.

Muse apparaît dans les Sonnets 38, 78, 85, 100, 101, 103

En tant que poète, Shakespeare a un bouc émissaire facile lorsqu’il ressent le besoin d’écrire un sonnet à sa bien-aimée mais qu’il n’est pas satisfait du résultat : il blâme sa muse, qui, selon lui, a pris des vacances non autorisées dans son esprit.

Le temps apparaît dans de nombreux poèmes

Le temps est présent dans ces poèmes comme une force immuable, celle qui balaie tout et tout le monde dans une sorte de marche aveugle vers l’oubli. Souvent, Shakespeare fait allusion au temps comme à l’ennemi de l’homme. Le plus souvent, il utilise le temps comme élément pour donner du poignant à ses lignes.

La perte apparaît dans Sonnet 30 et autres

Dans certaines de ses humeurs les plus sombres, Shakespeare réfléchit à la perte – la perte de la beauté juvénile, de la santé et, finalement, de la vie elle-même. Dans Sonnet 30 où il énumère ses pertes, Shakespeare conclut en disant à son amour que la contemplation d’elle restaure ses pertes et efface ses chagrins.



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