Ourika : un résumé de la traduction anglaise et un guide d’étude descriptif


Ourika de Claire de Duras est un roman de fiction basé sur une histoire vraie sur une jeune esclave sénégalaise élevée et protégée par une riche famille française peu avant la Révolution française. Ourika ne se rend compte de sa situation de dépendante que lorsqu’elle surprend sa bienfaitrice en discuter avec son amie. Elle est frappée de désespoir en réalisant que, malgré son intelligence et ses nombreux talents, sa race lui assure qu’elle n’aura pas d’avenir, et ce désespoir lui prend finalement la vie. Ourika raconte l’histoire déchirante d’une jeune femme dont la race, combinée à l’éducation supérieure qu’elle a reçue, lui fait se sentir « coupée de toute la race humaine » (p. 16).

L’introduction se compose de deux essais, rédigés respectivement par Joan DeJean et Margaret Waller, sur Claire de Duras et l’importance de sa décision d’écrire sur une femme noire instruite peu après la Révolution française. Dans l’avant-propos de John Fowles, le traducteur raconte son histoire d’amour avec les livres en général et particulièrement avec Ourika. Dans l’Introduction à l’Ourika, un jeune médecin parisien soigne au couvent du faubourg Saint-Jacques une jeune religieuse noire malade, qui souffre d’une mélancolie prolongée. Puisque le médecin insiste sur le fait qu’elle doit guérir le passé pour sauver la vie de la religieuse, la religieuse partage la triste histoire de sa vie après avoir fait davantage connaissance avec le médecin. Chevalier a sauvé Ourika d’un esclavagiste au Sénégal alors qu’elle avait deux ans et l’a donnée à sa tante, Mme. de B, à son retour en France. Mme. de B a élevé Ourika comme une fille, lui fournissant ce qui était considéré comme une éducation parfaite pour une fille, et la seule amie d’Ourika était Mme. le petit-fils de de B, Charles, qui avait à peu près le même âge qu’elle. Ourika était traitée avec gentillesse, bien éduquée et attirante, et elle excellait dans la danse, le chant et le dessin. Sa vie était paisible jusqu’au jour où elle entendit une conversation entre Mme. de B et son amie la marquise, ce qui lui fit prendre conscience de son statut de dépendance et de mépris dans la société en raison de la couleur de sa peau ; Après cela, Ourika a été frappée par un désespoir qui a eu un impact négatif sur sa santé. La seule distraction de son apitoiement sur elle-même fut le moment où Charles partit voyager à l’étranger.

Lorsque la Révolution a pris une tournure sérieuse, elle a donné à Ourika une lueur d’espoir qu’elle pourrait trouver sa véritable place lorsque le chaos s’installerait, mais elle a été rapidement désabusée car elle ne pouvait pas supporter la grande souffrance actuelle pour le potentiel de son propre petit bonheur futur. . Son intérêt pour l’émancipation des Noirs n’a fait que lui faire honte d’appartenir à une race d’assassins barbares après les massacres de Saint-Domingue. Après Mme. Les amis de B. se sont cachés ou ont voyagé à l’étranger pour éviter les persécutions, on a annoncé que les biens de ceux qui avaient voyagé à l’étranger seraient confisqués, alors Mme. de B convoqua Charles pour qu’il rentre à la maison. Mme. de B, Charles, Ourika et un vieux curé se retirèrent à la campagne à Saint-Germain. Le temps passé à Saint-Germain fut le plus heureux de la vie d’Ourika après la fin de ses délires d’enfance. Ourika se sentait nécessaire par Mme. de B et était fier de la confiance de Charles. Elle fut mécontente lorsque Mme. Les amis de de B revinrent après la Terreur et la scrutèrent avec dédain parce qu’elle avait été emmenée chez Mme. la confiance de de B.

Après que Charles soit tombé amoureux de Mlle. de Thémines, Ourika fut frappé d’un désespoir qui le conduisit à une maladie désespérée lorsqu’il annonça qu’il voulait que la confiance dans son mariage soit exactement comme la confiance entre lui et Ourika. Tandis que Mme. de B assiste au mariage de Charles à Paris, Ourika reste seule à Saint-Germain et s’imagine mourir abandonnée. Elle s’est rétablie mais a pleuré la perte de son ami, malgré ses fréquentes visites après son mariage. Ourika et Mme. de B retourne à Paris quand Anaïs tombe enceinte, mais la naissance du fils de Charles augmente la jalousie et le désespoir d’Ourika sachant qu’elle ne sera jamais épouse ni mère. Pendant qu’Ourika priait pour mourir, la marquise lui rendit visite pour connaître ses chagrins, mais après avoir insisté sur le fait que le chagrin d’Ourika était le résultat d’une passion secrète et vouée à l’échec pour Charles, le désespoir d’Ourika augmenta alors qu’elle se demandait si la marquise avait raison. Sa santé s’est détériorée et elle a failli mourir. Après que le curé ait entendu la dernière confession d’Ourika, il lui a assuré qu’elle n’était pas coupable d’avoir mal aimé Charles, mais qu’elle avait péché en étant malheureuse et en ne reconnaissant pas le dessein de Dieu pour sa vie. Encouragée par le curé, Ourika décide de devenir religieuse avec Mme. la triste approbation de de B et contre la plaidoirie de Charles. Une fois que la religieuse a fini son récit, le médecin continue de lui rendre visite, mais ses remèdes s’avèrent vains lorsqu’Ourika meurt fin octobre.



Source link -2