Les six épouses d’Henri VIII


Ce livre raconte la vie et les relations des six épouses du roi d’Angleterre Henri VIII, l’un des monarques les plus connus de l’histoire. Riche de détails historiques bien documentés et méticuleusement documentés, le livre parcourt la chronologie de l’une des périodes les plus spirituellement et politiquement instables de l’histoire anglaise tout en restant clairement concentré sur les expériences personnelles des personnes qui la vivent. Des thèmes liés au rôle des femmes dans la société médiévale et au pouvoir destructeur de la certitude émergent alors que l’auteur tisse une tapisserie vivante d’ambition, de luxure, de solitude, d’idéalisme et d’un aperçu occasionnel de grâce.

Une chronologie détaillée des événements importants de la vie d’Henri VIII et de ses six épouses est suivie d’une introduction de l’auteur, dans laquelle elle résume à la fois la situation générale des femmes à l’époque d’Henri et les manières individuelles dont vivaient les six épouses d’Henri. les limites de cette situation.

La première partie, Katherine d’Aragon, se concentre sur les débuts de la princesse espagnole Katherine, enfant de deux grands dirigeants qui était fiancée alors qu’elle était encore bébé à Arthur, l’aîné du roi d’Angleterre politiquement incertain, Henri VII. Le récit explore les manœuvres politiques, typiques de l’époque, qui ont donné naissance aux fiançailles, qui ont amené Katherine en Angleterre très jeune, qui l’ont amenée au lit d’Arthur en tant qu’épouse, et qui l’ont finalement amenée au lit de son mari. frère Henry comme épouse après la mort subite d’Arthur. La première partie se termine par le récit de la détérioration du mariage d’Henry et Katherine après la naissance de leur seul enfant survivant, Mary, et son amour pour l’une des dames d’honneur de Katherine, l’ambitieuse Anne Boleyn.

La deuxième partie, La « Grande affaire », porte le titre des circonstances qui, à bien des égards, ont défini la vie et le règne d’Henri : sa détermination à annuler son mariage avec Katherine afin de pouvoir épouser Anne, de plus en plus impatiente et exigeante. Le récit décrit cette détermination comme si intense que lorsque l’Église catholique romaine a refusé de déclarer invalide le mariage de Katherine et Henry (une déclaration que Katherine a soutenue sans relâche jusqu’à sa mort), Henry a créé sa propre église au sein de laquelle il pourrait obtenir le résultat matrimonial qu’il souhaitait. Le récit continue en décrivant comment Anne a donné naissance à un seul enfant vivant (la future Elizabeth I), comment Henry s’est rapidement lassé d’elle et a trouvé une autre épouse potentielle en la personne de Jane Seymour (l’une des dames d’honneur d’Anne), et comment ses conseillers ont manipulé les événements pour qu’Anne soit déclarée traîtresse et donc remplaçable. La deuxième partie se termine par un récit de l’exécution d’Anne, du mariage ultérieur (et très précipité) d’Henry avec Jane, de la grossesse presque immédiate de Jane, de sa naissance à l’héritier mâle tant désiré d’Henry et de sa mort presque immédiate d’une fièvre commune.

La troisième partie, Combien d’épouses aura-t-il, raconte les trois derniers mariages d’Henry : l’union arrangée et politiquement avantageuse avec Anne de Clèves (dont l’apparence physique repoussait Henry), l’union motivée par la luxure avec la promiscuité Katherine Howard (dont l’adultère stupide et très public l’a conduite à son exécution), et l’union heureuse avec Katherine Parr, mature mais réticente. La dernière section du récit comprend des descriptions de la mort d’Henry, de la romance malheureuse qui a suivi Katherine Parr avec l’inconstant Thomas Seymour, et de sa mort ultérieure à cause de la même fièvre liée à l’accouchement que Jane Seymour. Le livre se termine par une description de la vie heureuse et de la mort gracieuse d’Anne de Clèves, décrite comme peut-être la plus sage et certainement la plus chanceuse des six épouses d’Henri.



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