Critique de The Circus Train par Amita Parikh – magie et brutalité à l’ombre de la guerre | Fiction

jeans ses débuts impeccablement documentés, qui débutent en 1938, l’auteure canadienne Amita Parikh tisse une histoire hypnotique sur une troupe de cirque voyageant à travers l’Europe sur un train à vapeur de luxe. Le père de Lena Papadopoulos, Theo, est un illusionniste grec avec « le sens du spectacle de [Harry] Houdini, le savoir-faire de [David] Devant et l’intelligence de [Harry] Keller ». Il est la tête d’affiche du cirque World of Wonders. Ayant contracté la poliomyélite lorsqu’elle était bébé, Lena utilise un fauteuil roulant. Elle est sans amis jusqu’à ce qu’un garçon juif français, Alexandre, soit découvert inconscient à bord du train. Theo persuade Horace, le propriétaire américain égoïste du cirque, d’autoriser Alexandre, un orphelin, à rester, en lui promettant de l’enseigner à l’art de l’illusion.

Lena étudie dur avec une gouvernante privée et se retrouve de plus en plus attirée par le monde de la science et de la médecine. Avec son médecin, elle explore la possibilité de retrouver la mobilité de ses jambes. Alors que son amitié avec Alexandre se transforme en quelque chose de plus, les sombres nuages ​​de la guerre menacent d’envelopper tout ce pour quoi elle a travaillé si dur. Les SS patrouillent de plus en plus dans le train et Horace conclut avec eux un accord dangereux qui brisera leur paix fragile.

En tant que fiction historique, la portée de Parikh est ambitieuse, couvrant les préjugés endurés par les enfants handicapés dans les années 1930 et 40, l’attrait de la magie et de l’illusion à l’époque, et la brutalité du camp de concentration de transit de Terezín. Ayant anticipé une intrigue surchargée, j’ai été agréablement surpris par la structure du roman. Parikh prend le temps de nous présenter sa distribution diversifiée, s’assurant qu’ils gagnent notre sympathie et que nous sommes pleinement investis dans leurs voyages.

Le train du cirque est résolument romantique, mais Parikh n’est jamais mièvre. Lena est une héroïne intelligente et fougueuse et son rite de passage est convaincant. Ses décors européens sont dessinés de manière vivante, ses personnages sont crédibles – beaucoup sont imparfaits et tous ne trouvent pas de rédemption – et elle travaille dur pour créer un bon équilibre entre lumière et ombre. En fin de compte, il s’agit d’une lecture édifiante, qui tourne souvent la page et d’une évasion bienvenue de nos temps turbulents.

Le train du cirque par Amita Parikh est publié par Sphere (£16.99). Pour soutenir la Gardien et Observateur commandez votre exemplaire sur guardianbookshop.com. Des frais de livraison peuvent s’appliquer

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