Becket, ou l’honneur de Dieu Résumé et guide d’étude Description


Avant sa nomination comme archevêque de Cantorbéry, les loyautés de Thomas Becket sont envers le roi. Il combat comme soldat dans les guerres du roi, et donne des conseils au roi. Il aide également le roi à faire en sorte que l’Église d’Angleterre paie des impôts au trône, ce que l’Église rechigne avec force. Becket, à la fin du premier acte, révèle que sa loyauté est une loyauté opportuniste ; il ne sait pas exactement où se trouve son honneur dans la vie. Pendant qu’il est à l’emploi du roi, il sert bien le roi.

Thomas Becket est nommé archevêque de Cantorbéry dans le deuxième acte de la pièce. L’archevêque prédécesseur est décédé et le roi Henri souhaite contrôler l’Église en ayant son propre homme en place à la tête de l’Église. Cet homme, c’est Thomas Becket. Becket est d’abord très inquiet à l’idée d’assumer ce rôle et une grande responsabilité. Quand il cède, il embrasse la position de tout cœur. Il renonce à ses richesses et à son ancien mode de vie. Becket se lance dans un voyage de découverte de lui-même et de ce qu’il doit faire pour promouvoir l’honneur de Dieu. Cela renforce le conflit principal dans la pièce ; Becket défendra l’honneur de Dieu, tandis que le roi défendra l’honneur du royaume.

Dans l’acte trois, le roi Henry prend des mesures impitoyables contre les prêtres de Becket. Il s’agit de représailles contre Becket, qui a excommunié trois des fonctionnaires du roi. Le roi Henri déplore la détérioration de sa relation avec Becket. Il se sent trahi par l’allégeance de Becket à Dieu et à l’Église d’Angleterre. Becket a un nouveau but dans la vie, et au détriment de son amitié passée avec le roi, il s’est engagé dans son objectif de défendre l’honneur de Dieu. Les deux hommes emploient des tactiques pour faire avancer leurs idéologies.

Dans l’acte quatre, les deux hommes parviennent à mieux comprendre la position de l’autre lorsqu’ils se rencontrent face à face dans une vaste plaine. Cependant, cette compréhension ne fait reculer ni l’un ni l’autre de leur position. Par conséquent, l’intrigue atteint sa conclusion inévitable; sans compromis, il doit y avoir une confrontation – une partie gagnera, tandis que l’autre perdra. Le roi d’Angleterre, par ordre indirect, est finalement responsable du meurtre de Thomas Becket. Alors qu’il pleure son ami assassiné, il sait aussi qu’il a assuré sa position de chef du royaume.



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