Un résumé de proposition modeste et une description du guide d’étude


Modest Proposal est un essai satirique de l’auteur du XVIIIe siècle Jonathan Swift. Avec la voix d’un gentleman riche, largement déconnecté de la société. Il expose un argument en faveur de la vente d’enfants en bas âge pour la viande. Cela relancerait les industries irlandaises et sortirait le pays de son marasme financier actuel.

L’auteur déclare que l’Irlande a besoin d’une solution simple et bon marché pour aider sa population appauvrie. Les rues irlandaises sont pleines de mendiantes et beaucoup d’entre elles ont des enfants qu’elles peinent à nourrir. Malgré ces luttes, les enfants grandissent pour devenir des voleurs.

L’auteur affirme que parmi les 1,5 million d’habitants du pays, environ 120 000 sont des enfants qui n’ont aucune utilité pour la société. Il considère que la mère pourrait vendre son enfant à l’âge de douze ans, mais alors elle ne recevrait que la somme dérisoire de trois livres L’auteur indique que la meilleure solution serait de garder 20 000 des 120 000 enfants comme reproducteurs et de vendre les 100 000 restants pour Viande.

Les femmes mendiantes en profiteraient grandement. Il calcule qu’il ne leur en coûte que deux shillings pour s’occuper de leur enfant la première année. Après cela, un marchand l’achèterait pour au moins dix shillings, laissant la mendiante avec huit shillings. Avec la vie modeste que l’argent pouvait lui permettre, elle serait bientôt apte à entrer sur le marché du travail.

L’auteur déclare qu’il y a six avantages à son idée.

Tout d’abord, cela réduirait le nombre de catholiques dans le pays qui, selon l’auteur, sont les ennemis du peuple.

Deuxièmement, les pauvres posséderaient quelque chose de précieux, leur permettant de payer leur loyer et de payer leur bétail.

Troisièmement, il y aurait une circulation d’argent provenant de biens fabriqués à l’intérieur du pays.

Quatrièmement, l’éleveuse des enfants, la mendiante, n’aurait pas à s’occuper des enfants après la première année.

La cinquième raison est que les tavernes deviendraient des lieux plus convenables pour les gentlemen.

Sa dernière et dernière raison est que la proposition aiderait le mariage. Le mari et la femme seraient si heureux de pouvoir apporter quelque chose de précieux qu’ils se traiteraient avec beaucoup de respect.

L’auteur prétend n’avoir d’autre intérêt que de soulager les pauvres et de faire plaisir aux riches.



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