Six pieds de pays


La version suivante de cette nouvelle a été utilisée pour créer le guide : Gordimer, Nadine. «Six pieds du pays». Six pieds du pays. Livres Pingouin, 1986. Pages 7 à 20.

La nouvelle de Nadine Gordimer, « Six Feet of the Country », est racontée du point de vue à la première personne d’un homme blanc anonyme. L’histoire utilise une structure atypique et est racontée au passé. Le résumé suivant adhère à un mode plus linéaire et s’appuie principalement sur le présent.

Lorsque le narrateur à la première personne et sa femme, Lerice, décident pour la première fois de quitter Johannesburg, en Afrique du Sud, pour s’installer dans leur ferme nouvellement acquise, le narrateur espère que quelque chose changera entre eux. Leur mariage a été défini par des tensions, et lui et Lerice veulent tous deux que la vie à la ferme leur apporte calme et paix.

Peu de temps après avoir déménagé à 16 km de la ville, le narrateur se rend compte que sa femme aime vivre à la ferme, alors que lui ne l’aime pas. Il avait supposé qu’elle se lasserait bientôt du pays et retournerait à ses activités d’actrice amateur. Au lieu de cela, elle commence à investir dans la terre, les animaux et la vie de leurs ouvriers agricoles.

Pendant ce temps, le narrateur continue de travailler en ville comme agent de voyages, ne passant du temps à la ferme que le soir et le week-end. Parfois, il remarque la beauté du paysage et essaie de se convaincre que cette décision était une sage décision. Il en est particulièrement convaincu lorsqu’ils ont des invités. Pendant que leurs invités se plaignent des tensions à Johannesburg, le narrateur déclare quelle chance lui et Lerice d’avoir pu s’en sortir.

Les tensions dont parlent ses invités sont liées à l’apartheid et aux dynamiques raciales violentes qu’il a inspirées dans la ville. Dans ce pays, le narrateur pense que lui et sa femme ont noué de nouvelles et meilleures relations avec les citoyens noirs, en particulier les Sud-Africains d’origine qui travaillent pour eux.

Une nuit, un de leurs ouvriers agricoles, Albert, frappe à la fenêtre de leur chambre pour demander de l’aide. Le narrateur le suit jusqu’aux cabanes des ouvriers. Lorsqu’ils arrivent devant la cabane d’un autre ouvrier agricole Petrus, le narrateur est choqué de voir le cadavre d’un jeune homme. Petrus dit que c’est son frère.

Le frère de Petrus a marché depuis la Rhodésie voisine jusqu’en Afrique du Sud à la recherche de travail. Il est tombé malade en cours de route et a essayé de se rétablir avec Petrus. Les ouvriers avaient eu peur de demander de l’aide au narrateur et à Lerice parce que le garçon était un immigré clandestin. Il est décédé trois jours après son arrivée.

Lerice est bouleversée. Petrus ne pensait pas pouvoir lui faire confiance, elle et son mari. Le narrateur est très gêné de devoir faire face à la situation.

Ensuite, il communique avec les autorités sanitaires et la police. Les autorités disposent du corps. Lorsque Petrus le découvre, il supplie le narrateur de l’aider à récupérer le corps. Son père arrive et ils veulent avoir des funérailles. Petrus récupère 20 livres pour payer l’exhumation. Le narrateur se moque, estimant que toute cette épreuve est une perte de temps, d’argent et d’énergie.

Environ deux semaines plus tard, le narrateur joue au golf sur la propriété tout en regardant Petrus, sa famille et ses amis porter le cercueil du garçon vers le cimetière voisin. Soudain, le groupe s’énerve. Le narrateur se précipite pour voir ce qui se passe. Ils ont découvert que le corps dans le cercueil n’est pas celui du frère de Petrus.

Bien que le narrateur tente de récupérer le bon corps, le frère de Petrus est perdu à jamais. Ni le narrateur ni Lerice ne peuvent récupérer l’argent que Petrus a payé pour l’exhumation du mauvais corps. Avant le départ du père de Petrus, Lerice lui offre un vieux costume. Le narrateur considère le procès comme une digne compensation pour sa perte.



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