Roush Review: ‘The Ipcress File’ est un gardien kitsch d’un câlin d’espionnage

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J’ai souvent eu envie de pleurer « ONCLE » (un péché L’homme de) tout en regardant Le dossier Ipcressune câpre d’espionnage stylisée des années 1960.

Le candidat mandchou (vu sur un chapiteau de film) est une autre pierre de touche pour ce jeu en six parties vif et kitsch basé sur le best-seller de Len Deighton. Vous pouvez également être rappelé des émissions comme Agent secret et l’original Mission impossible alors que la série sinueuse tisse sa toile exotique.

(Crédit : Ben Blackall/Mikola Preovic / ©AMC+ /Avec la permission d’Everett Collection)

Dans le rôle qui a contribué à faire de Michael Caine une star dans un film de 1965, Peaky Blinders‘ Joe Cole a un charme insolent à revendre en tant qu’agent bad boy Harry Palmer. « Je suis mal à l’aise de discuter de mes émotions », insiste-t-il, mais contrairement à son contemporain James Bond, qui a également un permis de tuer, Harry manque de volonté, montrant des remords après une fusillade déchirante.

Arraché de prison par un bureau voyou (dirigé par un sournois Tom Hollander) pour retrouver un scientifique kidnappé au plus fort de la course aux armements nucléaires de la guerre froide, Harry travaille aux côtés de la séduisante espionne professionnelle Jean Courtney (Lucy Boynton, fabuleuse) alors qu’ils s’envolent de Londres à Beyrouth vers un atoll d’essai du Pacifique.

Avec les conspirations internationales et le lavage de cerveau s’ajoutant à l’intrigue colorée, cette Dossierc’est un gardien.

Le dossier IpcressPremière de la série Jeudi, 19 mai, AMC+

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