Résumé du meurtre sur l’Orient Express et description du guide d’étude


Murder on the Orient Express, d’Agatha Christie, est un roman policier classique sur un meurtre commis au milieu de la nuit dans un train voyageant de l’Extrême-Orient vers l’Europe. Alors que le train est coincé dans une congère, l’identité, les motivations et les alibis des passagers sont enquêtés par le célèbre détective belge Hercule Poirot. Alors que Poirot plonge dans le mystère de ce qui s’est passé cette nuit fatidique, le livre explore des thèmes liés à la nature de la justice, au pouvoir des liens familiaux et au triomphe inévitable de la logique.

Le roman commence avec le célèbre détective belge Hercule Poirot attendant de monter à bord d’un train pour rentrer chez lui. Pendant qu’il attend, il est observé par une jeune Anglaise (Mary Debenham) voyageant en Angleterre, qui regarde son apparence excentrique et le considère inoffensif. Après être monté à bord du train, il observe à son tour une relation polie se développer entre Mlle Debenham et un autre passager britannique, le colonel Arbuthnot. Pendant ce temps, un télégramme urgent le convoque en Angleterre, où les développements qu’il avait prédits dans une enquête sur un meurtre se sont concrétisés plus tôt que prévu. Alors que Poirot s’arrange pour se rendre à Londres sur l’Orient Express, deux choses se produisent – il retrouve un vieil ami, M. Bouc, un directeur de l’Orient Express voyageant également cette nuit-là, et rencontre un Américain (Ratchett) avec des yeux qu’il décrit plus tard. similaires à celles d’un animal en cage.

Lorsque Poirot et M. Bouc tentent de monter à bord de l’Orient Express, ils apprennent que tous les compartiments disponibles sont réservés. Poirot est placé temporairement dans le compartiment d’un jeune américain nommé MacQueen, qui s’avère être le secrétaire de Ratchett. Le lendemain, dans la voiture-restaurant, Ratchett (qui connaît la réputation de Poirot) propose à Poirot un poste de garde du corps, affirmant que sa vie a été menacée. Poirot, en réponse à la fois à la manière de Ratchett et à son visage, refuse. Le lendemain matin, après une nuit de troubles bruyants et de confusion, Ratchett est retrouvé assassiné. M. Bouc, désespéré de préserver la réputation de son train, supplie Poirot d’enquêter. Poirot est d’accord.

Le reste du roman raconte les enquêtes de Poirot et leur résultat. Avec l’aide de M. Bouc et d’un médecin grec, il examine plusieurs indices trouvés dans le compartiment de l’homme assassiné – une montre apparemment cassée au moment du meurtre, un billet brûlé, un cure-pipe et un délicat mouchoir de dame. Il interroge chacun des passagers, parmi lesquels Mlle Debenham et le colonel Arbuthnot, une princesse russe âgée et sa femme de chambre allemande, une veuve américaine bavarde, le secrétaire et valet de Ratchett, un diplomate hongrois et sa femme, un missionnaire suédois, un vendeur de voitures italien. , et un détective américain. Il interroge également le chef d’orchestre de l’entraîneur en service au moment où Ratchett a été assassiné. Alors que Poirot est perplexe à découvrir, les passagers et le conducteur se donnent des alibis, présentent des faits contradictoires et nient toute implication dans le meurtre – même lorsque la victime s’avère être le kidnappeur notoire Cassetti, et même lorsque les passagers et le conducteur se révèlent tous ont eu un lien avec les Armstrong, l’une des familles qu’il (Cassetti) a victimisées.

Poirot finit par arriver à ce qu’il considère être la vérité – que les passagers et le conducteur, en raison de leur lien avec la famille Armstrong, et parce que Cassetti a échappé à la justice pour ses crimes, ont pris sur eux d’administrer cette justice et l’ont exécuté dans le façon dont il aurait dû être exécuté par le système judiciaire. Un plaidoyer passionné de l’un des passagers (la mère de Mme Armstrong, une actrice renommée se faisant passer pour la veuve bavarde Mme Hubbard), convainc Poirot que la vraie justice a bien été rendue. Il (Poirot) accepte de proposer une deuxième solution au crime à la police, une solution qui correspond à tous les indices et preuves mais qui laisse tous les membres de la famille élargie Armstrong (y compris Mlle Debenham et le colonel Arbuthnot, qui sont en amour et désireux de se marier) libres de poursuivre leur vie.



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