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Vanity Fair : Un roman sans héros, le premier ouvrage majeur publié par William Thackeray sous son propre nom, a été publié en série à Londres en 1847 et 1848. Auparavant, sous divers pseudonymes comiques (tels que Michael Angelo Titmarsh et George Savage Fitzboodle), Thackeray a clairement indiqué, à la fois dans son rôle de narrateur de Salon de la vanité et dans sa correspondance privée au sujet du livre, qu’il voulait dire non seulement divertissant, mais instructif. Comme toute satire, Salon de la vanité a une mission et une morale. Le premier épisode publié avait une illustration sur sa couverture d’une congrégation écoutant un prédicateur; l’orateur et les auditeurs ont été montrés avec des oreilles d’âne. Dans les pages, Thackeray explique l’illustration ainsi :
mon aimable lecteur se fera un plaisir de se rappeler que ces
histoires. … avoir « Vanity Fair » pour titre et que
Vanity Fair est un endroit très vain, méchant, insensé, plein
de toutes sortes de farces et de faussetés et de prétentions.
Et tandis que le moraliste qui disserte sur le
couverture (un portrait fidèle de votre humble serviteur)
professe ne porter ni robe ni bande, mais seulement
la même livrée à longues oreilles dans laquelle sa congrégation
est paré : pourtant, regardez-vous, on est tenu de
dire la vérité pour autant qu’on la sache.
Que Becky soit autorisée à vivre, et à bien vivre, est parfaitement
conforme à la vision de la vie de Thackeray et
moralité. … Perdre est vanité, et gagner est vanité.
À mi-parcours de sa publication en série, le long récit décousu de Thackeray sur l’ascension sociale implacable et corrompue, raconté avec un humour mordant et un cynisme mordant, faisait parler de lui à Londres. Les lecteurs attendaient avec impatience de nouveaux épisodes de la vie de l’anti-héroïne profondément immorale et égoïste de Thackeray, Becky Sharp, qui est depuis devenue l’un des personnages les plus connus et les plus controversés de la littérature. Le roman a assuré la place de Thackeray parmi les géants littéraires de son temps; et les géants de son temps, parmi lesquels Charles Dickens, les sœurs Brontë, Thomas Hardy et Alfred Tennyson, ont enduré comme des géants jusqu’à ce jour. Salon de la vanité est considéré comme un classique de la littérature anglaise et l’une des grandes œuvres satiriques de toute l’histoire.
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