Deux chouettes tachetées du Nord retrouvées mortes dans une forêt de la Colombie-Britannique, dans le cadre d’un programme de remise en liberté

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Deux chouettes tachetées du Nord qui avaient été relâchées dans une forêt de la Colombie-Britannique l’année dernière ont été retrouvées mortes, réduisant potentiellement la population sauvage connue dans la province à une seule femelle.

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Le chef de la Première nation de Spuzzum, James Hobart, a déclaré dans une déclaration conjointe publiée avec le gouvernement et Jasmine McCulligh, coordonnatrice des installations du programme d’élevage de chouette tachetée du Nord, que les restes des deux oiseaux mâles ont été retrouvés avec leurs traceurs GPS il y a quelques jours.

Nathan Cullen, ministre de l’intendance des eaux, des terres et des ressources, affirme que la cause de la mort des oiseaux relâchés est inconnue, mais pourrait inclure des blessures physiques, la prédation, la maladie ou la famine.

Hobart qualifie les décès de dévastateurs et affirme que des efforts seront faits pour retracer les derniers jours des oiseaux afin de déterminer ce qui aurait pu être fait différemment.

Un troisième hibou mâle qui avait été relâché avec les autres en août dernier a été retrouvé blessé près des voies ferrées en octobre après avoir potentiellement heurté un train.

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Il s’est depuis rétabli mais reste dans les installations du programme d’élevage à Langley.

McCulligh dit que malgré la mort des oiseaux, son équipe utiliserait l’expérience pour aider à faire avancer le programme d’élevage et de libération.

Elle dit que « d’innombrables heures » ont été passées à soigner les hiboux, en se souvenant du « moment excitant et gratifiant » de leur libération près de la Première nation Spuzzum, à environ 200 kilomètres au nord-est de Vancouver.

« Bien que ce ne soit clairement pas le résultat que nous avions souhaité, nous nous engageons à apprendre autant que possible de cette expérience », déclare-t-elle dans le communiqué publié vendredi.

McCulligh avait déclaré en février que la libération du trio mâle avait porté à quatre la population sauvage confirmée, avec une seule femelle connue.

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