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Ce poème a été publié dans le premier livre complet de poèmes de Dove, La maison jaune du coin, en 1980. « Géométrie » comme d’autres poèmes du même volume, explore la dynamique entre connaissance et imagination. À travers une série évolutive d’images dramatiques de plus en plus surprenantes et fantastiques, le poème entraîne le lecteur dans une excursion rapide et fantaisiste d’une connaissance indiscutable (« Je prouve un théorème ») au domaine de l’imagination. L’orateur du poème semble suggérer que l’acte même de tenter d’imposer une certitude intellectuelle entraîne le déchaînement d’une force de transformation mystérieuse, et finalement merveilleuse. La « maison » géométrique « s’élargit » immédiatement à partir de ce qui est connu et certain, et soudain le locuteur n’est plus protégé, mais est « à l’air libre ». Les fenêtres, ces dispositifs encadrés à travers lesquels le locuteur observe le monde extérieur, » sans secousses » et s’articulent » en papillons » dans une transformation de la pensée rationnelle à l’imagination. Le poète semble dire que là où l’intellect et l’imagination « se croisent », il y a « la lumière du soleil », ou l’illumination, et qu’en fin de compte, c’est l’imagination qui est « vraie et non prouvée ».
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