Résumé de la critique du film Super Mario Bros: « Chris Pratt ne gâche pas le film », mais ce n’est toujours pas si génial

Mario and Luigi strike poses while wielding a wrench and a plunger, respectively, and a woman cowers atop a stool in the background.

Il y a un film de Super Mario Bros qui sort au cinéma cette semaine, et la question sur toutes les lèvres semble être : va-t-il ruiner mon enfance ? J’espère que non! Mais l’enfance détruite ou non (Chris Pratt compte vous êtes en sécurité, mais il dirait cela), la réponse critique est étonnamment variée, ni accablante ni festive, bien qu’elle soit quelque peu partagée entre les médias spécialisés dans les jeux pensant que c’est plutôt bon, et tous les autres pensant que c’est un exemple typique d’un film de jeu vidéo adaptation. En d’autres termes, jolie merde.

Prendre Le gardien par exemple, qui décrit les ébats dirigés par Aaron Horvath et Michael Jelenic comme « ennuyeux et plats dans tous les sens », tout en parvenant à faire référence à Dostoïevski. Ou L’indépendant, qui porte le titre glorieusement cruel: « L’héroïsme générique de Chris Pratt correspond à la médiocrité confortable de l’adaptation ». Cette dernière critique observe que le film aurait tout aussi bien pu être écrit par un algorithme, mais admet à contrecœur que les « clins d’œil à la tradition de Mario » (œufs de Pâques, en d’autres termes) sont abondants et « mis en scène avec charme ».

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