Résumé de la cité perdue du dieu singe et description du guide d’étude


Ce résumé fait référence à Lost City of the Monkey God de Douglas Preston, publié par Hachette Book Group en 2017.

Le livre de Preston est un récit de première main d’une expédition dangereuse au cœur de Mosquitia, une région du Honduras, pour trouver la ville perdue, alternativement appelée la ville blanche et la ville perdue du dieu singe, dont l’existence a longtemps été répandue. là. Preston commence son récit lorsque l’expédition se trouve à Catacamas, au Honduras, une ville dangereuse contrôlée par des trafiquants de drogue d’où ils partiront pour entrer dans la forêt tropicale. Là, ils entendent parler des dangers du voyage à venir, notamment des serpents venimeux, des scorpions et des araignées, et des maladies mortelles. L’auteur raconte ensuite sa première rencontre avec Steve Elkins, le directeur de la photographie et aventurier dont le rêve est de retrouver la cité perdue.

L’auteur plonge ensuite dans la longue histoire de la fabrication du mythe qui a entouré la cité perdue pendant des centaines d’années, remontant à Cortes. Il inclut les histoires étranges de colporteurs, comme Thedore Morde, qui s’est aventuré au Honduras en 1940 et qui a affirmé avoir trouvé une ville remarquable gouvernée par la statue d’un dieu singe. Malgré la popularité de Morde auprès de la presse à l’époque, ses histoires, comme le révèle Preston, étaient des fraudes – ce que Preston réalise lorsqu’il met la main sur les journaux de Morde.

Preston revient ensuite à la longue et difficile quête de vingt ans de Steve Elkins pour produire un lidar, ou carte radar, de la zone appelée T! au Honduras où il pense que la cité perdue pourrait se trouver et les découvertes remarquables révélées par la carte lidar. Il couvre l’expédition dans le T1 de type édénique en 2015, au cours de laquelle le groupe fait des découvertes remarquables liées à une civilisation inconnue et distincte des Mayas. Il est alors, comme de nombreux membres de l’expédition, atteint de leishmaniose, causée par des phlébotomes qui injectent des parasites dans l’homme. Il raconte son traitement de la maladie aux National Institutes of Health, puis relie son expérience de la maladie aux expériences de personnes du Nouveau Monde qui sont mortes en masse lorsqu’elles ont fait face à des maladies de l’Ancien Monde que les Européens ont apportées au Nouveau Monde et contre lesquelles ils avaient aucune résistance. Il conclut son récit par un avertissement sur l’impermanence des grandes civilisations et les dangers que représentent les maladies pour le monde moderne.



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