Recueil de poèmes, 1909-1962 par TS Eliot


Je ne sais pas vraiment…

J’ai un sentiment mitigé sur les poèmes d’Eliot. j’ai trouvé le sien Prufrock impénétrable, La terre des déchets ennuyeux, frustrant et surtout incompréhensible, Mercredi des Cendres quelque peu intéressant dans certaines parties mais trop fortement religieux. Le sien Les hommes creux, cependant, a résonné en moi dans toutes ses connotations obsédantes et effrayantes. Poèmes d’Ariel, Poèmes mineurs, Poèmes inachevés étaient tous meh (et quelqu’un peut-il m’expliquer ce qui se passe dans son étrange Beckett-esque Les agonistes de Sweeney?!?!?). Quatre Qua

Je ne sais pas vraiment–

J’ai un sentiment mitigé sur les poèmes d’Eliot. j’ai trouvé le sien Prufrock impénétrable, La terre des déchets ennuyeux, frustrant et surtout incompréhensible, Mercredi des Cendres quelque peu intéressant dans certaines parties mais trop fortement religieux. Le sien Les hommes creux, cependant, a résonné en moi dans toutes ses connotations obsédantes et effrayantes. Poèmes d’Ariel, Poèmes mineurs, Poèmes inachevés étaient tous meh (et quelqu’un peut-il m’expliquer ce qui se passe dans son étrange Beckett-esque Les agonistes de Sweeney?!?!?). Quatre quatuors était assez intéressant dans sa propre lumière, mais je n’étais pas exactement sûr de ce qu’il essayait de dire ou de décrire. J’en ai cependant souligné quelques lignes particulièrement intéressantes :

« Des pas résonnent dans la mémoire / En bas du passage que nous n’avons pas emprunté / Vers la porte que nous n’avons jamais ouverte / Dans la roseraie. Mes paroles résonnent / Ainsi, dans ton esprit » (« Burnt Norton, » I)

« Les mots, après la parole, atteignent / Dans le silence… » (« Burnt Norton, » V)

« Ce que nous appelons le début est souvent la fin / Et faire une fin, c’est faire un début. / La fin est d’où nous partons » (« Petit Gidding, » V)

Dans l’ensemble, je dois probablement passer plus de temps à les absorber. Beaucoup de choses se perdent lors de la première lecture et c’est lors de la deuxième lecture plus lente que nous pouvons espérer acquérir une compréhension plus profonde. La poésie est différente de la fiction, et je suis toujours un lecteur amateur de vers.

La section « Versets occasionnels » contenait des poèmes sympas et charmants, et permettez-moi d’en citer une partie :

« Le durable ne se substitue pas au transitoire. / Ni l’un pour l’autre. Mais la conception abstraite / De l’expérience privée à sa plus grande intensité / Devenir universel, que nous appelons ‘poésie’, / Peut s’affirmer en vers » ( » Une note sur la poésie de guerre »).

Dans l’ensemble, les poèmes d’Eliot m’ont appris à quel point il est important de passer du temps avec chaque poème et à quel point il est difficile de lire la poésie en général. Il semble que le lecteur recherche des poèmes qui décrivent le mieux son « expérience privée à sa plus grande intensité », ce qui signifie que le lecteur lit de manière flagrante le sens du texte (qui ne le fait pas ?). Dans la mesure où je suis reparti avec un poème que j’ai aimé (The Hollow Men), je dirais que la lecture a été fructueuse.



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