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« For Jennifer, 6, on the Teton » est inclus dans la collection 1975 de Richard Hugo, Ce que tu aimes bien, reste américainqui a été nominé pour le National Book Award et réimprimé en Making Certain It Goes On: The Collected Poems of Richard Hugo (1983). Hugo écrivait souvent des poèmes aux amants, aux étudiants et parfois aux enfants d’amis et d’amants, et celui-ci est l’un de ces derniers. Hugo s’adresse à l’enfant, Jennifer, tout au long du poème, faisant des comparaisons entre sa vie et la rivière Teton, qui a inspiré le poème. Historiquement, les poètes ont utilisé la rivière comme symbole du temps, de la vie et du changement, et Hugo s’inspire de cette tradition dans le poème. La forme du poème, bien qu’il ne s’agisse pas d’une lettre, a beaucoup en commun avec les poèmes du prochain recueil d’Hugo, 31 lettres et 13 rêves (1977), dont beaucoup sont adressés à des amis et connaissances.
En cinq strophes, le locuteur, faisant office de sage, fait des observations sur l’enfance, la nature, la vieillesse, le langage et la mort, donnant à l’enfant une idée de ce que la vie lui réserve. La langue d’Hugo dans le poème, comme la langue de l’une de ses principales influences littéraires, Wallace Stevens, est très elliptique. Cela signifie qu’il laisse beaucoup de non-dits et que ses comparaisons peuvent être difficiles à saisir à la première lecture. Cependant, comme les bons poèmes qui résistent à l’épreuve du temps, le poème d’Hugo offre quelque chose de nouveau à chaque relecture.
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