Pigeon anglais


La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer le guide : Kelman, Stephen. Pigeon anglais. Société d’édition Houghton Mifflin Harcourt, 2011.

Le roman de Stephen Kelman Pigeon anglais est écrit du point de vue à la première personne du protagoniste Harri, 11 ans. Le récit utilise le passé et le présent et retrace cinq mois consécutifs dans la vie de Harri. Malgré l’échafaudage narratif chronologique, le courant de conscience de Harri souille les représentations temporelles et spatiales du récit. Le résumé suivant s’appuie sur le présent et un mode d’explication linéaire.

Harri immigre du Ghana vers l’Angleterre avec sa mère, son père, sa grand-mère, sa sœur aînée Lydia et sa petite sœur Agnès. Lui et sa famille emménagent dans un lotissement urbain composé de trois immeubles imposants. La famille de Harri vit au neuvième étage d’un immeuble appelé Copenhagen House. Après avoir voyagé si loin, Harri est curieux de connaître sa nouvelle maison, ses voisins et son quartier.

Puis un jour, Harri est horrifié d’apprendre qu’un garçon d’environ son âge a été violemment assassiné devant un fast-food local. Lui et son ami Jordan se présentent sur les lieux du crime. Ils étudient le sang du garçon mort sur le sol à l’extérieur de l’établissement, se défiant de s’approcher et de le toucher. Harri est ému par la scène et par la façon dont la mère du garçon mort semble garder le sang de son fils.

Harri et son deuxième meilleur ami Dean décident de lancer une enquête policière amateur sur le meurtre du garçon mort. Parce que Dean a regardé toutes les émissions policières et policières américaines, il sait tout ce qu’il y a à savoir pour résoudre un tel mystère. Il enseigne à Harri les empreintes digitales, les caméras de surveillance, les entretiens avec la police et l’ADN. Au fil du temps, tous ces détails et tactiques se retrouvent dans le travail d’enquête des garçons. Bientôt, Harri transforme sa chambre en quartier général de la police, cachant leurs preuves, indices et notes à l’intérieur.

Pendant ce temps, Harri et ses amis tentent constamment d’échapper au gang des 11e année, appelé Dell Farm Crew. Les membres du gang comprennent X-Fire et Killa. Les garçons taquinent et intimident constamment Harri et ses amis. Ils les mettent au défi de déclencher des alarmes incendie, de jeter des bouteilles sur des voisins âgés ou de casser des caméras pour pouvoir voler de la bière sur les marchés locaux. Chaque fois que le Dell Farm Crew tente de capturer ou de menacer Harri, il sait qu’il peut s’échapper en s’enfuyant. Il est l’un des garçons les plus rapides de son école et de son quartier.

Plus Harri et Dean travaillent sur l’enquête, plus leurs indices pointent vers Killa comme coupable. Malgré les preuves dont ils disposent contre lui, ils ne savent pas s’ils doivent le livrer sans plus de preuves. Puis un jour, ils trouvent un colis dehors pendant la promenade. À l’intérieur du colis, ils découvrent le portefeuille et la photographie du garçon mort. Harri décide que s’ils emmènent la photo sur le terrain de basket, l’un des endroits préférés du défunt, ils pourraient peut-être rappeler son esprit et lui demander qui l’a tué. Tout en essayant de mettre ce plan à exécution, Killa et X-Fire apparaissent et les menacent. L’attitude de Killa change lorsqu’il voit la photo. Lorsqu’il remarque plus tard qu’Harri vole ses empreintes digitales et essaie de collecter son ADN, il le piège dans la salle de bain et le menace.

Le dernier jour d’école, Harri est rempli d’enthousiasme et d’impatience. C’est l’été et il est libre. Lui et Dean vont livrer Killa à la police. Bientôt, il sera chez lui et en sécurité. Cependant, alors qu’il court de la cour de l’école vers les appartements, l’excitation d’Harri l’empêche de remarquer Killa dans le tunnel. Dès qu’Harri le voit, il réalise que Killa veut lui faire du mal. Killa poignarde Harri avec un tournevis et s’enfuit. Harri est allongé sur le sol, le ventre serré. Il essaie de se souvenir du visage de sa petite sœur, incapable de garder les yeux ouverts plus longtemps.



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