N’y a-t-il pas de fond dans le gâchis du SPAC ?

Pour un bref Un instant plus tôt dans la pandémie en cours, il est apparu qu’il existait une solution pour l’arriéré de startups à prix élevés qui devaient fournir des liquidités à leurs bailleurs de fonds : les SPAC.

Les SPAC, ou sociétés d’acquisition à vocation spéciale, sont des sociétés papetières introduites en bourse avec un capital attaché qui se combinent ensuite avec une entité privée, initiant efficacement les startups sur les marchés publics.

Que les SPAC aient une histoire colorée, c’est sous-estimer l’affaire. Mais en 2020 à 2021, avec l’afflux de capitaux de démarrage et des bailleurs de fonds de premier plan à bord, certains espéraient que les sociétés de chèques en blanc sauveraient les licornes de l’illiquidité du marché privé. Il ne devait pas être. Certaines startups sont devenues publiques via un SPAC, oui, mais peu de licornes de marque, et dans de nombreux cas, les débuts en blanc ont entraîné une incinération de la valeur. Ou pire.


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Des nouvelles récentes – de la radiation potentielle de Bird et du procès des employés de BuzzFeed aux dernières nouvelles de Latch (plus à ce sujet sous peu) – nous amènent à nous demander s’il y a vraiment un fond au gâchis que les débuts dirigés par SPAC ont laissé sur les marchés publics. Ensuite, nous voulons savoir qui est à blâmer. Heureusement, nous avons des reçus.

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