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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer ce guide d’étude : Zimmerman, Mary. « Métamorphoses », basé sur la traduction de David R. Slavitt des « Métamorphoses d’Ovide ». Northwestern University Press, 2002. Première édition à couverture rigide. Après un court prologue, le récit global de la pièce suit un modèle structurel dans lequel un mythe dramatisé de la mythologie grecque se jette dans un autre. Deux points clés à noter concernant le style de présentation de la pièce : il est destiné être mis en scène dans et autour d’un grand bassin d’eau sur scène et les histoires sont racontées à la fois par la narration et par la dramatisation (c’est-à-dire mises en scène).
Le Prologue commence avec l’image d’une femme regardant la piscine. Elle, une scientifique et une manifestation du dieu Zeus, s’adresse au public, discutant de la nature, des besoins et de l’esprit curieux de l’humanité.
Les personnages du Prologue introduisent la première histoire dramatisée par la pièce dans son ensemble – l’histoire bien connue du roi Midas, qui souhaite que tout ce qu’il touche se transforme en or, et apprend rapidement qu’il n’est pas toujours conseillé aux gens de tout obtenir. ils souhaitent. La fin de cette histoire se termine par le début de la suivante : l’histoire d’Alcyone et de Ceyx, un couple royal séparé d’abord par un voyage en mer puis par la mort, pour ensuite voir leur amour immortalisé par les dieux.
Ce modèle de récits qui s’enchaînent les uns dans les autres se poursuit tout au long du reste de la pièce, alors que l’histoire d’Alcyone et de Ceyx se jette dans l’histoire peu connue d’Erysichthon, un homme avide qui manque violemment de respect à la déesse Cérès, qui le maudit et le condamne. lui à l’autodestruction. L’histoire d’Erysychthon, à son tour, se transforme en l’histoire bien connue d’Orphée, un musicien divin qui aime tellement la belle Eurydice qu’après sa mort, il la suit dans le royaume des morts et plaide pour sa libération. . Hadès, le dieu des enfers, accède à sa demande – mais seulement s’il remplit certaines conditions. Quand Orphée échoue, Eurydice retourne pour toujours dans le monde des morts. Cette version particulière de l’histoire envisage la fin sous deux angles différents : celui d’Orphée (qui est le point de vue particulier pris en compte par la fin), mais aussi celui d’Eurydice.
Cette histoire d’amour vouée à l’échec est suivie d’une histoire d’amour qui se termine avec plus de succès. Le dieu du printemps, Vertumnus, est tellement attiré par la nymphe des bois Pomona qu’il enfile une série de déguisements afin de plaider sa propre cause auprès d’elle. Sous l’un de ces déguisements, il lui raconte à quel point il est dangereux d’ignorer le pouvoir de la déesse de l’amour. Pomona, cependant, voit à travers son déguisement, et les deux (selon la narration) entrent en relation. Cette histoire est suivie par celle de Phaéton, le fils du dieu Apollon qui est si désespéré de prouver qu’il est celui qu’il prétend être qu’il décide bêtement et imprudemment de suivre le chemin de son père consistant à guider le soleil à travers le ciel, un escapade qui aboutit à une tragédie. Un point clé à noter à propos de cette histoire est qu’elle est racontée d’une manière très contemporaine, Phaeton décrivant ce qui est arrivé à un personnage appelé Le Thérapeute, et qui parle dans des termes contemporains communs à la pratique de la psychothérapie.
Les deux dernières histoires de la pièce reviennent sur le thème de l’amour. L’avant-dernière histoire est celle du dieu de l’amour (Eros) et d’une incarnation de l’âme semblable à une déesse (Psyché), et comment leur amour a survécu à une série de défis si puissamment et si magnifiquement que le dieu Zeus les a transformés. en étoiles, et leur a permis, ainsi qu’à leur amour, de vivre éternellement. L’histoire finale de la pièce est celle de Baucis et Philémon, un couple âgé dont la compassion et l’hospitalité envers deux dieux déguisés leur valent un cadeau éternel.
À la fin de l’histoire de Baucis et Philémon, le personnage du roi Midas réapparaît, ayant fait ce que les dieux lui ont dit de faire pour dissiper la touche dorée et qui retrouve sa fille bien-aimée. Avec leur étreinte, la pièce touche à sa fin.
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