« Megalopolis » de Francis Ford Coppola obtient un engagement mondial d’Imax Les plus populaires à lire absolument Inscrivez-vous aux newsletters de variétés Plus de nos marques

"Megalopolis" de Francis Ford Coppola obtient un engagement mondial d'Imax Les plus populaires à lire absolument Inscrivez-vous aux newsletters de variétés Plus de nos marques

Imax a engagé des écrans dans le monde entier pour diffuser le magnum opus de Francis Ford Coppola, « Megalopolis », a confirmé jeudi le PDG de la société, Richard Gelfond, lors d’un événement organisé au Festival de Cannes.

La bande-annonce du film, diffusée mardi, indiquait que « Megalopolis » sortirait dans les cinémas Imax cette année – mais il n’était pas précisé que la sortie serait mondiale.

Les préparatifs de la première de l’épopée autofinancée de Francis Ford Coppola à Cannes vendredi ont été remplis d’anticipation et de controverses, en partie parce que « Megalopolis » n’a pas encore trouvé de distributeur américain – même si une sortie mondiale en Imax pourrait aider à adoucir l’atmosphère. pot. Le film a été distribué en France et dans d’autres territoires internationaux, notamment au Royaume-Uni, en Espagne et en Italie.

« Mégalopolis » suit l’architecte Cesar Catilina (Adam Driver), qui, après un accident, détruit une métropole new-yorkaise, s’efforce de la reconstruire pour en faire une utopie durable. Le maire corrompu Franklyn Cicero (Giancarlo Esposito) défie Cesar et veut s’en tenir au statu quo, mais sa fille Julia (Nathalie Emmanuel) s’interpose entre les deux hommes.

Le drame de science-fiction met également en vedette Aubrey Plaza, Shia LaBeouf, Jon Voight, Jason Schwartzman, Talia Shire, Grace VanderWaal, Laurence Fishburne, Kathryn Hunter, Dustin Hoffman, Chloe Fineman, Madeleine Gardella, Balthazar Getty, Bailey Ives, Isabelle Kusman, James. Remar et DB Sweeney.

Coppola tente de réaliser « Megalopolis » depuis des décennies, utilisant finalement 120 millions de dollars de son propre argent provenant de son empire viticole pour produire le film. Il est en compétition cette année pour la Palme d’Or, que Coppola a remportée deux fois auparavant pour « The Conversation » (1974) et « Apocalypse Now » (1979).

Source-111