Les licenciements chez Toys for Bob et Sledgehammer Games touchent entre 30 et 40 % du personnel, selon une source proche

Les licenciements chez Toys for Bob et Sledgehammer Games touchent entre 30 et 40 % du personnel, selon une source proche

Toys for Bob, développeur de Crash Bandicoot, et Sledgehammer Games, studio de Call of Duty, auraient perdu respectivement environ 40 pour cent et 30 pour cent de leur personnel.

Ces licenciements font partie de la décision de Microsoft de licencier 1 900 employés dans ses équipes de jeux vidéo. Dans un e-mail envoyé aux employés, le patron de Xbox, Phil Spencer, a qualifié cette décision de « décision douloureuse après l’acquisition par Microsoft d’Activision Blizzard pour 69 milliards de dollars l’année dernière et pour 7,5 milliards de dollars de Zenimax en 2021. Microsoft a également licencié près de 900 postes à la même époque l’année dernière. .

Journal télévisé : Pourquoi y a-t-il tant de licenciements dans l’industrie du jeu ?

Journal télévisé : Pourquoi y a-t-il tant de licenciements dans l’industrie du jeu ?

Selon Jason Schreier de Bloomberg, le personnel d’Activision Blizzard l’a contacté directement pour savoir s’ils ont été touchés, tandis que Tom Henderson, un initié de l’industrie, affirme que 40 pour cent de l’effectif de Toys for Bob équivaut à environ 35 employés (merci, TheGamer).

Sledgehammer, en revanche, est répertorié sur LinkedIn comme employant entre 500 et 1 000 personnes, ce qui laisse entendre qu’entre 150 et 300 personnes pourraient être affectées par les suppressions d’emplois.

Ce fut un début d’année horrible pour l’industrie. Comme Victoria nous l’a récemment résumé, ce mois-ci seulement, plusieurs autres sociétés ont annoncé des licenciements, notamment le développeur de League of Legends, Riot Games, Black Forest Games, Unity, Behaviour Interactive et l’éditeur Lords of the Fallen, CI Games.

Plus tôt ce mois-ci, GDC a publié son rapport 2024 sur l’état de l’industrie du jeu, révélant que 35 % des développeurs de jeux avaient été touchés par des licenciements au cours des 12 derniers mois. La moitié des personnes interrogées ont admis s’inquiéter de nouvelles suppressions d’emplois.

Source-101