Le résumé de l’anneau et la description du guide d’étude


La nouvelle « The Ring » d’Isak Dinesen (de son vrai nom Karen Blixen) peut être considérée à la fois comme typique de l’art littéraire de son auteur et comme différente de son mode d’expression le plus caractéristique. Son cadre danois du XVIIIe siècle le place dans l’archaïsme délibéré de la narration de Dinesen, et son souci des fondamentaux tels que l’identité, la sexualité et la violence fait écho à ces préoccupations dans ses autres contes. D’un autre côté, « The Ring » a une simplicité que l’on ne retrouve pas dans certaines des autres œuvres de Dinesen. Dans son style concis, il ressemble à un conte populaire ou à un épisode d’une saga médiévale. « The Ring », qui apparaît dans la collection de 1958 intitulée Anecdotes du Destin, adhère aux styles classiques de narration, aux unités aristotéliciennes de caractère, de cadre et de durée, et explore la manière dont la violence brise et reforge le caractère.

Bien que rejetée par certains de ses contemporains comme une archaïsante qui a manipulé les dispositifs de la narration du XVIIIe siècle d’une manière sans rapport avec la condition moderne, Dinesen est depuis devenue une commentatrice incisive de la modernité. Alors que « The Ring » traite d’un groupe de personnes, des Danois ruraux d’un siècle passé, assez étrangers au lecteur américain des années 1990, le conte aborde une condition humaine universelle : comme Lovisa, la jeune mariée, les lecteurs peuvent se retrouver rattrapés dans un monde qu’ils n’ont pas fait mais avec lequel ils doivent composer.



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