Le Québec utilise des moniteurs de CO2 pour évaluer la qualité de l’air dans les salles de classe

Dans un magasin de détail à grande surface bondé, les lectures ont culminé à 1 174 ppm et les niveaux étaient similaires lors de deux voyages distincts dans une épicerie très fréquentée (928 ppm et 972 ppm).

Un trajet en voiture de 20 minutes avec deux personnes – avec les fenêtres fermées et la climatisation en marche – a vu les niveaux atteindre 3 371 ppm. Lors d’un trajet similaire avec les fenêtres ouvertes, les lectures n’ont jamais dépassé 600 ppm.


RELEVÉS DE CO2 SUR UNE PÉRIODE DE 2 HEURES Vert enregistré à l’extérieur, orange dans un magasin à grande surface, rouge dans une voiture avec les fenêtres fermées.


Étant donné que la plupart des écoles élémentaires et secondaires n’avaient pas encore rouvert, la Gazette n’a pas été en mesure de faire une lecture dans une salle de classe avec des élèves présents.

Au cours de deux cours dans un cégep de la région de Montréal cette semaine, cependant, les niveaux ont atteint 1 443 ppm et 1 823 ppm. Pendant d’autres cours, dont un tenu dans un gymnase, les lectures oscillaient entre environ 550 ppm et 650 ppm.

Selon le ministère de l’Éducation, en mai dernier, plus de 99 % des salles de classe ont enregistré une concentration hebdomadaire moyenne inférieure à 1 500 ppm.

Pourtant, au cours de la semaine du 6 juin, par exemple, il y avait 172 salles de classe avec une lecture moyenne supérieure à 2 000 ppm et 622 avec une moyenne comprise entre 1 500 ppm et 2 000 ppm.

Les lectures de CO2 ont également semblé s’améliorer pendant les mois les plus chauds, probablement car il est devenu plus facile pour les enseignants de garder les fenêtres ouvertes.

La concentration hebdomadaire moyenne de CO2 pour tous les moniteurs actifs du réseau scolaire est passée de 917 ppm fin janvier à 696 ppm fin mai.

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