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Une révision audacieuse des histoires de Faust et Ponce Pilate, Le Maître et Marguerite est reconnu comme l’un des classiques essentiels de la littérature russe moderne. La vision du roman de la vie soviétique dans les années 1930 est si férocement exacte qu’il n’a pas pu être publié au cours de son a
Une révision audacieuse des histoires de Faust et Ponce Pilate, Le Maître et Marguerite est reconnu comme l’un des classiques essentiels de la littérature russe moderne. La vision du roman de la vie soviétique dans les années 1930 est si férocement exacte qu’il n’a pas pu être publié du vivant de son auteur et n’a paru que dans une édition censurée dans les années 1960. Ses vérités sont si durables que sa langue est devenue une partie du discours russe commun.
Une source chaude, le diable arrive à Moscou, accompagné d’une suite qui comprend une belle sorcière nue et un immense chat noir parlant avec un penchant pour les échecs et la vodka. Les visiteurs font rapidement des ravages dans une ville qui refuse de croire en Dieu ou en Satan. Mais ils apportent aussi la paix à deux Moscovites malheureux : l’un est le Maître, un écrivain mis au pilori pour avoir osé écrire un roman sur le Christ et Ponce Pilate ; l’autre est Marguerite, qui aime tellement le Maître qu’elle est prête à aller littéralement en enfer pour lui. S’ensuit un roman d’une énergie inépuisable, d’un humour et d’une profondeur philosophique, une œuvre dont les nuances émergent pour la première fois dans la splendide version anglaise de Diana Burgin et Katherine Tiernan O’Connor.
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