Le Jour des Triffides de John Wyndham


En 1951, John Wyndham publie son roman Le Jour des Triffides acclamer modérément. Cinquante-deux ans plus tard, cette histoire horrible est un classique de la science-fiction, vanté par Les temps (Londres) comme ayant « toute la réalité d’un cauchemar parfaitement réalisé ».

Bill Masen, des bandages sur ses yeux blessés, rate la pluie de météorites la plus spectaculaire que l’Angleterre ait jamais vue. Retirer son

En 1951, John Wyndham publie son roman Le Jour des Triffides acclamer modérément. Cinquante-deux ans plus tard, cette histoire horrible est un classique de la science-fiction, vanté par Les temps (Londres) comme ayant « toute la réalité d’un cauchemar parfaitement réalisé ».

Bill Masen, des bandages sur ses yeux blessés, rate la pluie de météorites la plus spectaculaire que l’Angleterre ait jamais vue. Enlevant ses bandages le lendemain matin, il trouve des masses de personnes aveugles errant dans la ville. Il rencontre bientôt Josella, une autre personne chanceuse qui a conservé la vue, et ensemble, ils quittent la ville, conscients que le monde sûr et familier qu’ils connaissaient il y a à peine vingt-quatre heures a disparu pour toujours.

Mais pour survivre dans ce monde post-apocalyptique, il faut survivre aux Triffides, des plantes étranges qui, des années auparavant, ont commencé à apparaître partout dans le monde. Les Triffids peuvent atteindre plus de sept pieds de haut, tirer leurs racines du sol pour marcher et tuer un homme avec un coup rapide de leurs dards venimeux. Avec une société en ruine, ils sont maintenant prêts à s’attaquer à l’humanité. Wyndham anticipe de manière effrayante la guerre biologique et la destruction massive, cinquante ans avant leur réalisation, dans ce récit prémonitoire de la paranoïa de la guerre froide.



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