Le Cercle Matarese (Matarese #1) par Robert Ludlum


LE CERCLE MATARESE de Robert Ludlum

Roman typique de Robert Ludlum, c’est-à-dire action-aventure mondiale et intrigues conspirationnistes élaborées (bien que l’animosité personnelle de longue date entre les deux protagonistes et les maîtres assassins, l’agent américain Brandon « Bray » Scofield et le pro soviétique du KGB Vasili Taleniekov, ajoute certainement des degrés supplémentaires d’intrigue et tension), phrases étrangères constantes sans la courtoisie habituelle d’une traduction, « éruption de chair » et/ou gorges arrachées par des balles, ad woe

LE CERCLE MATARESE de Robert Ludlum

Roman typique de Robert Ludlum, c’est-à-dire action-aventure mondiale et intrigues conspirationnistes élaborées (bien que l’animosité personnelle de longue date entre les deux protagonistes et les maîtres assassins, l’agent américain Brandon « Bray » Scofield et le pro soviétique du KGB Vasili Taleniekov, ajoute certainement des degrés supplémentaires d’intrigue et tension), phrases étrangères constantes sans la courtoisie habituelle d’une traduction, « éruption de chair » et/ou gorges arrachées par des balles, et une connaissance terriblement inexacte des armes à feu.

Bref, divertissant mais à prendre avec des pincettes. Aahh, c’est une évasion après tout.

FLUX DE CONSCIENCE ALÉATOIRE NOTES ET OBSERVATIONS :

« Pistolet Graz-Burya » et un « Browning Magnum, Grade 4″ silencieux. Oi vey; le premier n’existe pas, et le second est un fusil de chasse, pas une arme de poing ! Et se référant à l’orifice d’éjection d’une mitraillette comme étant le véritable « éjecteur ».

C’est quoi l’obsession de Ludlum pour les gens qui se font égorger ?!?!

-p. 115 : « Un homme froid et fatigué était beaucoup plus alerte qu’un homme chaud. » Eh bien, c’est certainement vrai.

« … une chemise amidonnée était comme une chambre froide, un irritant bénin ; il a gardé une alerte. Aussi vrai.

-p. 133 : « … formulés dans des platitudes moralisatrices faites par des hommes comme Congdon qui ont caché des décisions sales sous des titres respectables. »

-p. 180 : « l’enceinte de déclenchement ; » euh, est-ce qu’il veut dire le pontet ?

-p. 191 : Jeez Louise, tout comme dans The Gemini Contenders, un fusil de chasse Lupo devient soudainement un « fusil ».

-p. 356 : « … les fils et les cellules ont été trop facilement déclenchés par les animaux et les oiseaux. » Euh, la dernière fois que j’ai vérifié, les oiseaux *sont* des animaux !

-p. 377 : Vraiment, « Old Bond Street », hein ?

Le sénateur du Massachusetts, Joshua Appleton IV : un remplaçant à peine voilé pour Ted Kennedy ?
-p. 388 : « C’étaient les Kennedy épiscopaux… » A-ha !!

-p. 420 : Chosin mal orthographié comme « Chosan ».

-p. 421 : Se référant aux Marines en tant que « soldats », argh !

-p. 426 : Comment diable une blessure par balle de contact au torse, en particulier sur une victime déjà morte ou mourante, est-elle « extrêmement dangereuse pour celui qui tire ? »

-p. 429 : Un bon pilote de l’Air Force qui n’est « pas vraiment un buveur ; » ouais, riiiiiiight…

COULÉE CENTRALE :
Robert Shaw comme Talienekov, James Franciscus (ou Robert Redford) comme Brandon « Bray » Scofield, John Travolta et Donna Pescow comme les jeunes mariés dans l’ascenseur, Karen Lynn Gorney comme opératrice téléphonique de l’hôtel, Lotte Lenya comme femme de chambre, l’espion du vendeur de Top Secret comme le Hollandais, Randy Orton comme Stanley le chauffeur, Simonetta Stefanelli (joué Apollonia poussin dans Le Parrain) comme Antonia, Barbara Bach comme Lodzia Kronescha, Peter Lorre comme colonel Maletkin, Milo Sperber ou Cyril Shaps (Professeur Markowitz ou Dr Acteur Beckman respectivement de L’Espion qui m’aimait) comme Prof. Mikovsky, Alan Rickman ou Hardy Krueger comme Kassel, Brigitte Nielsen comme Odile Verachten (Voroshin), Roger Moore (ou Michael Caine ?) comme Roger Symonds, John Kitzmiller (Querelle de Dr. No) comme Israel Isles, Ed Asner (ou Ernest Borgnine ?) comme Theo Goldman, Bernie Sanders comme Nicholas Guiderone



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