Le bord de la raison par Helen Fielding


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Je viens de terminer la lecture du Journal de Bridget Jones : The Edge of Reason, alias BJD 2 : THE DARCY STRIKES BACK. Toujours en train de travailler sur les sentiments concernant la suite, car l’original était une pure perfection, une partie de l’identité, liée à l’orgueil et aux préjugés (donc évidemment supérieur à presque toutes les autres œuvres de

Poids: 867 lb (en raison du burrito Chipotle entier toujours assis dans le ventre), cigarettes 0 (comme ne fumez pas), unités d’alcool 1 (verre de vin rouge responsable, pour le cœur), calories 1557 (si le calculateur de nutrition Chipotle peut faire confiance )

Je viens de terminer la lecture du Journal de Bridget Jones : The Edge of Reason, alias BJD 2 : THE DARCY STRIKES BACK. Je travaille toujours sur les sentiments concernant la suite, car l’original était une pure perfection, une partie de l’identité, liée à l’orgueil et aux préjugés (donc évidemment supérieur à presque toutes les autres œuvres de fiction), etc. un film est suspendu au-dessus de la tête à la manière d’une pinata remplie de caca ou de vieux fromages puants.

Ne vous attardez pas sur l’étron d’un film, cependant, aussi imparfait qu’il soit, car j’adore le beau livre ! Comme Bridget Jones’s Diary, la suite est basée sur le roman de Jane Austen, cette fois Persuasion. N’avait pas lu Persuasion jusqu’à il y a plusieurs années et avait fini par aimer autant (sinon plus ? blasphème !) que P&P. Naturellement, Persuasion souffre d’un manque évident de Darcy, mais Wentworth est également digne de l’évanouissement, Anne Elliot est également la sainte patronne évidente des Singletons partout, ayant été déclarée vieille fille à l’âge virginal de 27 ans.

Notre petite Bridget est toujours aux prises avec le travail, l’argent, la romance, la famille (mère autoritaire, père ivre), blah dee blah LIFE de manière ridicule et amusante habituelle. Tous les vieux amis sont de retour, y compris la famille urbaine (Jude, Shazzer, Tom), les mariés (Smug and Other), le patron fou Richard Finch, le délicieux désordre Daniel Cleaver et bien sûr Mark Darcy, dont Bridget est maintenant profondément amoureuse. De nouveaux personnages rejoignent le monde de Bridget sous la forme de l’odieuse Rebecca, une méduse (alias frenemy) à l’affût du petit ami de Bridget, et les adorables moppets de l’amie Magda, créés pour donner à Bridget un air à la fois fou et compétent.

J’aurais aimé que ce livre n’ait pas inclus de tourmente romantique pour Bridget et Mark Darcy, mais sachez qu’autrement, il y aurait eu un manque flagrant d’intrigue. Ne pouvait même pas se résoudre à s’énerver sur le ridicule de certaines intrigues (prison thaïlandaise, trou dans le côté d’un poisson plat et puant laissé dans le sac à main pendant des semaines, qu’avez-vous) à cause de l’amour pour toutes choses Bridget et Darcy, aussi parce que de fin heureuse tout aussi importante (spoilers) ! Supposons que je sois une fille typique de cette façon, le cœur battant à tout rompre à la moindre mention de réconciliation Jones-Darcy, preuve de Darcy toujours amoureux, etc.

Recommandez ce livre à tous ceux qui ont apprécié le journal de Bridget Jones, ou comme poussin bien fait allumé (je déteste toujours cette phrase haineuse, devrait cesser de l’utiliser immédiatement) en général. Cela vaut particulièrement la peine d’être lu pour un traitement spécial dans la suite (car toutes les suites doivent être originales) sous la forme de Colin Firth (alias THE Mr. Darcy) interviewé par Bridget Jones, qui se déroule exactement comme on pourrait s’y attendre.

En bref, la suite est vg



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