L’ancien Canuck Corey Hirsch se joint au conseil d’administration de Hockey Canada « pour créer un meilleur espace pour nos jeunes »

Hockey Canada doit changer. Et l’ancien gardien des Canucks veut aider.

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Hockey Canada et le hockey au Canada ont besoin d’un changement culturel.

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Et Corey Hirsch veut montrer la voie.

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L’ancien gardien de but des Canucks de Vancouver a porté plusieurs chapeaux : parent, entraîneur, diffuseur et agent immobilier. Devenir un défenseur de la santé mentale est devenu sa passion.

Et il ajoute maintenant à la liste un membre du conseil d’administration d’une organisation nationale de sport.

Hirsch, 51 ans, a été élu le week-end dernier au conseil d’administration de Hockey Canada, rejoignant ainsi une liste impressionnante de huit Canadiens qui se sont portés volontaires pour diriger l’organisation nationale.

Il y a un an, face à un torrent de critiques sur le traitement des allégations d’inconduite sexuelle de la part des joueurs de l’équipe nationale, ainsi que sur le retrait des commanditaires en réponse, le conseil d’administration et le PDG de Hockey Canada ont démissionné. Un conseil d’administration intérimaire s’est présenté, mais les élections de la semaine dernière ont porté sur les nominations permanentes.

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Hirsch se concentre sur sa nouvelle carrière de défenseur de la santé mentale et de conférencier depuis qu’il a quitté la radiodiffusion en 2021 – son dernier travail était en tant que commentateur radio couleur sur les émissions des Canucks de Vancouver de Sportsnet 650. Hockey Canada est l’occasion d’apporter ses nouvelles compétences à une organisation dont il fait partie depuis longtemps.

« Je me suis assis dans ces vestiaires, j’ai assisté à tous les tournois sanctionnés par Hockey Canada. Je sais ce que c’est », a-t-il déclaré.

Hirsch a joué pour les Blazers de Kamloops au début des années 1990. Il était le gardien de but du Canada aux Jeux olympiques de Lillehammer en 1994, où les Canadiens ont perdu lors du match pour la médaille d’or contre la Suède en tirs de barrage.

Après avoir pris sa retraite, il a travaillé comme entraîneur des gardiens de but avec Hockey Canada.

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« Je suis sur un putain de timbre ! » il a plaisanté.

Lorsque Hockey Canada a lancé son appel de candidatures au conseil d’administration plus tôt cet automne, Hirsch a vu une occasion d’apporter des changements. En tant que défenseur de la santé mentale qui parle de ses luttes contre le trouble obsessionnel-compulsif depuis six ans, il a souvent mentionné à quel point la société doit changer, pour mieux comprendre les batailles en matière de santé mentale, en particulier chez les jeunes.

Le hockey a toujours été une bouée de sauvetage et une force directrice pour lui, même dans ses moments les plus sombres. Son TOC occupait ses pensées, en particulier entre le milieu et la fin des années 1990, lorsqu’il avait du mal à performer et manquait des matchs.

Mais ce sont ses collègues joueurs qui l’ont aidé à progresser.

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Le gardien Corey Hirsch lors du camp d’entraînement des Canucks de Vancouver en 1997 à Whistler. Photo de ARLEN REDEKOP /PNG

« Je le dis partout, le hockey m’a sauvé la vie. Nous nous en sortons, mais le hockey en lui-même n’est pas le problème. Nous devons éliminer les mauvais acteurs, qui nuisent aux autres », a-t-il déclaré.

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« Si nous voulons créer un meilleur espace pour nos jeunes, où existe-t-il un meilleur endroit que celui-ci ? Comment puis-je créer du changement ? Je m’y lance les oreilles ouvertes. »

Samedi, il s’est entretenu avec Jonathan Greenbloom, président du conseil d’administration, un spécialiste des communications de Montréal qui a été réélu après avoir siégé au conseil d’administration intérimaire pendant les 11 derniers mois.

« Je suppose que l’audit et la finance ne seront pas votre truc », a déclaré Hirsch, lui a dit Greenbloom.

« Nous avons beaucoup parlé de ce que sera mon rôle et de ce que j’apporte », a déclaré Hirsch. « Mon rôle sera auprès des gens, ils me voient travailler davantage sur les aspects culturels, sur l’inclusion, sur des choses comme ça. »

Lorsque Hirsch a commencé à parler pour la première fois début 2017 de ses problèmes de santé mentale, il a publié un article sur la Tribune des joueurs intitulé Sombre, Sombre, Sombre, Sombre, Sombre, Sombre, Sombre, Sombrece qui a amorcé le parcours qui l’a ramené à Hockey Canada.

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Les six dernières années ont été consacrées à découvrir ce que serait sa vie « d’adulte ».

« Carrière après le hockey, c’est ce que nous essayons tous de comprendre. Tout ce que nous savons, c’est le hockey. Vous recommencez.

Il a recommencé. Il a beaucoup appris. Il espère maintenant appeler pour aider Hockey Canada à recommencer.

[email protected]

@risingaction.bsky.social

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