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Un père et son fils marchent seuls à travers l’Amérique brûlée. Rien ne bouge dans le paysage ravagé sauf la cendre sur le vent. Il fait assez froid pour casser des cailloux, et quand la neige tombe, elle est grise. Le ciel est sombre. Leur destination est la côte, même s’ils ne savent pas ce qui, le cas échéant, attend t
Un père et son fils marchent seuls à travers l’Amérique brûlée. Rien ne bouge dans le paysage ravagé sauf la cendre sur le vent. Il fait assez froid pour casser des cailloux, et quand la neige tombe, elle est grise. Le ciel est sombre. Leur destination est la côte, bien qu’ils ne sachent pas ce qui les y attend, le cas échéant. Ils n’ont rien ; juste un pistolet pour se défendre contre les bandes sans foi ni loi qui rôdent sur la route, les vêtements qu’ils portent, un chariot de nourriture récupérée – et les uns contre les autres.
La route est l’histoire profondément émouvante d’un voyage. Il imagine hardiment un avenir dans lequel il ne reste aucun espoir, mais dans lequel le père et son fils, « l’un l’autre le monde entier », sont soutenus par l’amour. Impressionnant dans la totalité de sa vision, c’est une méditation sans faille sur le pire et le meilleur dont nous sommes capables : la destructivité ultime, la ténacité désespérée et la tendresse qui maintient deux personnes en vie face à la dévastation totale.
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