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La version de ce poème utilisée pour créer ce guide d’étude apparaît dans : Hughes, Langston et Rampersad, Arnold (Ed.). Les poèmes rassemblés de Langston Hughes. Maison aléatoire, 1995.
Notez que les citations entre parenthèses dans le guide font référence aux lignes du poème dont les citations sont tirées.
« I, Too » de Langston Hughes a été initialement publié dans un numéro spécial de 1925 du magazine Graphique d’enquête titré Harlem : La Mecque du Nouveau Nègre. Le poème a été republié dans le recueil de poésie de Hughes en 1926 Les Blues fatigués. Le poème deviendrait paradigmatique de la Renaissance de Harlem, une période des années 1920 et 1930 où les Afro-Américains créaient et gagnaient en reconnaissance pour la poésie, la musique et les arts visuels concernés par la construction de l’identité culturelle. Il reste un poème couramment étudié pour la manière complexe dont il traite les questions d’identité raciale, d’exclusion sociale et d’histoire littéraire américaine.
Le poème commence par l’orateur déclarant qu’il chante aussi américain, vraisemblablement en réponse à quelqu’un ou quelque chose. Il explique alors qu’il est le « frère plus sombre » qui n’a pas le droit de s’asseoir à table quand la compagnie vient (2). Même ainsi, il reste confiant, devient fort et mange de la nourriture en prévision de l’avenir. Il se projette alors dans ce temps futur où il pourra s’asseoir à table, et les autres le trouveront beau. L’orateur conclut en déclarant que non seulement il chante l’Amérique, mais qu’il est Amérique.
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