« Des liaisons dangereuses » placent des amants célèbres dans un « véritable lieu de lutte »

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Cette série intelligente et torride peut partager un titre avec le film oscarisé de 1988 mettant en vedette Glenn Close et John Malkovich, mais la production Starz tout aussi luxuriante de Liaisons dangereuses est une préquelle.

Le Paris pré-révolutionnaire, granuleux et glamour, abrite le marquis de Merteuil, plus jeune et plus naïf, ici connu sous le nom de Camille (Alice Englert), une travailleuse du sexe, et son amant Valmont (Nicholas Denton), un aristocrate déshérité devenu cartographe qui veut son titre retour. Il lui cache son tour de passe-passe de séduire les femmes riches qui lui procurent les plus belles choses de la vie.

(Crédit : Starz)

«Nous les rencontrons dans un véritable lieu de lutte, dans des vies dont ils veulent sortir», explique la productrice exécutive Harriet Warner, qui s’est inspirée du roman intemporel de 1782. « C’est un voyage de l’innocence à l’expérience, à la corruption, surtout pour Camille. »

Les deux sont prêts à s’enfuir ensemble lorsqu’elle découvre des lettres de ses nombreux amants et passe un marché avec l’une d’elles, Geneviève de Merteuil (Lesley Manville) : Camille gardera ses secrets pour une place dans sa maison. « Geneviève est une figure féminine puissante qui prononce le mantra « Vengez notre sexe ; inventer des stratégies inédites avant moi », déclare Warner.

Camille est une étude rapide. Elle demande à Valmont de prouver son amour en séduisant l’aristocrate Jacqueline de Montrachet ( Carice van Houten ), dont les actions cruelles ont conduit à la vie de Camille dans le bordel. C’est leur premier méchant jeu de vengeance. Selon Warner, « Ils sont totalement connectés mais aussi très destructeurs les uns des autres. »

Liaisons dangereuses, Première de la série dimanche 6 novembre, 8/7c, Starz

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