De combien de terres un homme a-t-il besoin ? Résumé et description du guide d’étude


La version suivante de cette histoire a été utilisée pour créer ce guide d’étude : Tolstoï, Leo. « De combien de terres un homme a-t-il besoin ? » De quoi vivent les hommes et autres contes. Auckland : The Floating Press, 2011. Pages 50-70.

L’histoire s’ouvre dans la campagne russe. Une femme s’y est rendue pour rendre visite à sa sœur cadette. La sœur cadette vit à la campagne et est mariée à un agriculteur. La sœur aînée vit en ville et est mariée à un commerçant. Les sœurs se disputent pour savoir laquelle d’entre elles a une vie plus désirable. La sœur cadette soutient que le travail agricole est plus stable, tandis que la sœur aînée soutient que la vie en ville est plus luxueuse. Le mari de la sœur cadette, un fermier nommé Pahom, intervient. Il dit qu’il est presque entièrement satisfait de sa vie et que son seul reproche est qu’il aimerait posséder plus de terres. Le diable surprend le commentaire de Pahom et forme un plan pour ruiner Pahom.

Peu de temps après la visite de la sœur aînée, une femme du village de Pahom décide de vendre sa terre. Pahom vend sa terre et achète 40 acres à la femme. Il est content de sa nouvelle ferme, qui est plus grande et plus productive. Cependant, il devient frustré lorsque ses voisins laissent à plusieurs reprises leur bétail paître sur les terres de Pahom. Cette animosité conduit à des rancunes entre Pahom et ses voisins. Pahom apprend alors l’existence d’un village à quelques centaines de kilomètres, où la terre est encore plus fertile. Il vend sa ferme et déménage au village, où il possède bientôt une ferme encore plus grande et plus productive. Cependant, il n’est toujours pas satisfait de la superficie de son terrain et il loue un terrain supplémentaire. Malheureusement, le terrain est mal situé à dix milles de sa ferme.

Pahom reste dans cette nouvelle situation pendant trois ans et amasse beaucoup d’argent. Il se prépare ensuite à vendre son terrain et à déménager sur un terrain encore plus grand qui est d’un seul tenant. Cependant, il entend alors parler d’un peuple lointain appelé les Bachkirs, qui ont beaucoup de terres fertiles et ont commencé à les vendre à des étrangers à des prix très bas. Pahom se rend au pays des Bachkirs et constate qu’ils ont beaucoup de terres, qui semblent très fertiles. Les Bachkirs utilisent très peu de leurs terres, car ils ne cultivent pas et vivent plutôt de sources de nourriture qui nécessitent très peu de travail. Ils passent la plupart de leur temps à se divertir et semblent être très heureux.

Pahom fait des cadeaux aux Bachkirs et ils acceptent de vendre des terres de Pahom pour 1 000 roubles. On dit qu’on lui donnera tout lopin de terre qu’il réussira à encercler en une journée de marche. La veille de cette tâche, Bashkir fait un rêve dans lequel le diable rit de son cadavre, mais il rejette le rêve au réveil. Au coucher du soleil, il commence à parcourir la terre, marquant parfois son chemin avec une pelle. Il tente d’encercler une zone aussi large que possible dans le temps imparti. Cependant, alors que le soleil commence à se coucher, il est encore à une certaine distance de son point de départ. S’il ne revient pas à son point de départ au coucher du soleil, il ne pourra pas garder la terre. Il est épuisé par la marche de la journée, mais il sprinte la dernière distance. Il revient à son point de départ juste à temps, mais il meurt alors d’épuisement. Un serviteur de Pahom enterre alors Phahom dans une tombe de six pieds de long.



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