Darwin en 1881 Résumé et guide d’étude Description


Gjertrud Schnackenberg a publié « Darwin en 1881 » dans son premier recueil de poèmes, Portraits et élégies, en 1982. Ce livre, parfois appelé « chapbook » en raison de sa courte longueur, est divisé en trois sections, et « Darwin en 1881 » constitue la deuxième section entière. Les trois parties se rapportent d’une manière ou d’une autre à l’histoire, la première consistant en une série d’élégies à son père, la troisième retraçant l’histoire d’une ferme du Massachusetts vieille de près de deux cents ans, et la médiane retraçant la vie de Charles Darwin un an avant sa mort. Ce dernier poème est superposé à deux allusions principales. Une référence subtile compare la vie de Darwin à la vie du père du poète, mais l’allusion la plus évidente est au personnage de Shakespeare Pros-pero de La tempête, que Schnackenberg compare également à Darwin.

Pour le poète, les trois hommes – son père, Darwin et Prospero – ont accompli de grandes choses dans leur vie et se sont installés dans des moments de réflexion tranquille avant leur mort. Dans le poème, il n’y a aucune description des derniers jours du père, mais Schnackenberg s’appuie fortement sur un examen du célèbre voyage de Darwin aux îles Galápagos, sa théorie controversée de l’évolution et de la sélection naturelle, et ses années, après le voyage, à la maison dans Angleterre. En mélangeant des références à Prospero, qui vit sur une île pendant de nombreuses années avant de retourner dans son Milan natal, en Italie, Schnackenberg présente une étude cohérente et poétique, pleine d’images riches, qui souligne l’importance de l’histoire, de la science et de la famille dans donner un sens à la vie humaine.

Les personnages ici ont tous fait des choses remarquables avec leurs pouvoirs intellectuels, et chacun a atteint un point de dire adieu à sa vie ambitieuse en faveur d’une méditation plus solennelle sur ce que les réalisations ont signifié.



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