dimanche, décembre 22, 2024

Dakota Black ou « le Dragon » de Nathaniel Matthews – Critique de Raju Chacko

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Une réapparition moderne du grand roman américain Moby Dick, sous une forme attrayante pour les lecteurs d’aujourd’hui

Dakota Black (Dakota Black ou « le Dragon » en entier) est profondément inspiré du classique d’Herman Melville, Moby Dick. Comme je l’ai réalisé, c’est la même chose au fond que son inspiration (c’est-à-dire, Moby Dick). Et semblable au grand roman ancien, il est basé sur la Bible et dépeint la même bataille entre le bien et le mal. La plupart des personnages sont les mêmes : Achab, le capitaine égocentrique, ses amis Starbuck, Stubb, Flask… et la plupart des membres de l’équipage du classique de Melville. L’histoire se déroule autour du long voyage d’un dirigeable, le ‘Pequod’. Ce ‘Pequod’ a aussi une histoire intéressante – il a été construit en utilisant les restes de Moby Dick’s navire de mer, ‘Pequod’ (il hérite donc immédiatement de la popularité généralisée de ce vieux classique américain).

J’ai essayé, mais je n’ai pas réussi à expliquer pourquoi l’auteur a réécrit le vieux classique de Melville sous la forme de Dakota Noir. Si l’on se fie aux principales différences entre les deux histoires, la seconde apparaît comme une simple version modernisée de la première, destinée à séduire les lecteurs d’aujourd’hui, et une nouvelle classe de lecteurs : femmes. Premièrement, il semble reconnaître le changement historique auquel nous assistons dans la société moderne, causé par l’ascension des femmes à des postes de pouvoir et d’autorité, en étant plus inclusives des femmes. Par exemple, Isabelle, une fille, remplit le rôle principal du narrateur, contrairement à Ismaël dans Moby Dick. Un autre remplaçant important est Berta, la (femme) cuisinière, qui remplace le sage Queequeg. La deuxième différence majeure est que le navire du 19ème siècle « Pequod » réapparaît sous la forme d’un dirigeable. Enfin, à la place du géant blanche baleine Moby Dick, nous avons le puissant le noir dragon, Dakota Black.

Ce qui précède sont les principales différences. Comme aucun d’entre eux ne semblait suggérer un changement fondamental/pivot par rapport à l’ancien classique, j’ai poursuivi en concluant que Noir Dakota est simplement le premier en tenue moderne (comme ci-dessus). Cependant, je peux me tromper car mon analyse est superficielle. Je voudrais donc ajouter qu’il y a aussi quelques petites différences, par exemple, Pip, le garçon de cabine meurt dans cette histoire, suite à l’une des attaques du dragon (alors qu’il survit mais devient fou après l’attaque de la grande baleine en Moby Dick), l’ajout de nouveaux personnages Brit et Sara, etc. Si un expert faisait une analyse approfondie en prenant tous compte tenu des différences, ils pourraient découvrir des significations/interprétations beaucoup plus profondes de ce grand classique américain, mais je me suis arrêté avant cela, estimant que cela dépassait le cadre de cette revue.

Noir Dakota préserve le charme d’antan de Moby Dick en utilisant des paramètres comparables et en utilisant le même anglais ancien que son illustre prédécesseur. Je le recommande au même lectorat du classique de Melville – lecteurs de fiction chrétienne, de classiques, étudiants en littérature (en particulier en littérature américaine), universitaires, etc. Autre chose, on peut s’attendre à ce qu’un nombre important de nouveaux lecteurs soient des femmes puisqu’elles ont un rôle plus important dans cette histoire !

Ingénieur et consultant informatique à temps partiel basé à Bangalore, en Inde. Réviseur/réviseur à temps partiel. Un membre senior de l’IEEE. Penseur profond et innovateur. Très analytique, clair, précis et minutieux. Plus de 65 critiques de livres publiées à ce jour-45 sur Reedsy et 21 sur Online BookClub.

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