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Alors qu’il était chercheur à Oxford, essayant de déterminer quelle carrière lui permettrait d’avoir le plus d’impact, William MacAskill a affronté ce problème de front. Il a découvert qu’une grande partie du potentiel de changement était gaspillée par le manque d’informations, de mauvaises données et nos propres préjugés. En guise d’antidote, lui et ses collègues ont développé un altruisme efficace, une approche pratique basée sur les données qui permet à chacun de nous de faire une énorme différence, quelles que soient nos ressources. Les altruistes efficaces croient qu’il ne suffit pas de simplement faire le bien ; nous devons mieux faire le bien.
Au cœur de cette philosophie se trouvent cinq questions clés qui aident à guider nos décisions altruistes : combien de personnes en bénéficient et dans quelle mesure ? Est-ce la chose la plus efficace que je puisse faire ? Cette zone est-elle négligée ? Que se serait-il passé autrement ? Quelles sont les chances de succès, et quelle serait la qualité du succès ? En appliquant ces questions à des scénarios réels, MacAskill montre combien de nos hypothèses sur le bien sont erronées. Par exemple, il soutient que l’on peut potentiellement sauver plus de vies en devenant chirurgien plasticien plutôt que chirurgien cardiaque ; mesurer les frais généraux est un indicateur inexact de l’efficacité d’un organisme de bienfaisance; et, en général, cela n’a pas de sens pour les individus de faire un don aux secours en cas de catastrophe.
MacAskill nous exhorte à penser différemment, à mettre de côté les préjugés et à utiliser des preuves et un raisonnement prudent plutôt que d’agir par impulsion. Quand on fait ça, quand on applique la tête et le cœur à chacun de nos efforts altruistes – nous constatons que chacun de nous a le pouvoir de faire une quantité étonnante de bien.
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