Chonky Pocket Raspberry Pi Handheld utilise 10 touches pour tout taper

Un problème constant avec les ordinateurs de poche est la saisie rapide et intuitive, car un clavier confortable jusqu’à 293 WPM est trop grand. Pendant ce temps, un tableau de type Blackberry est petit et fastidieux, et l’écriture manuscrite ou la saisie vocale ne sont bonnes que pour une entrée occasionnelle.

Le développeur Daniel Norris a dû réfléchir à ce problème d’optimisation des entrées lors de la création du Chonky Pocket (h/t Liliputing), qui comporte des touches mécaniques de taille normale pour la saisie tactile, mais seulement 10 d’entre elles. Ne vous inquiétez pas cependant, car il utilise la technologie des accords, qui peut aider les utilisateurs expérimentés à saisir des lettres, des mots et des phrases à partir de combinaisons de touches simultanées, ou « accords ».

(Crédit image : Daniel Norris)

Le Chonky Pocket est basé sur un Raspberry Pi et a été conçu pour offrir une autonomie de batterie toute la journée, avec une sélection de ports de taille normale. Un autre objectif de conception était de permettre la saisie tactile. Cependant, les utilisateurs devront s’attaquer à la courbe d’apprentissage de l’accordage pour se mettre à niveau.

Comme le CharaChorder One original de 2020, le Chonky Pocket n’a que 10 touches. L’ordinateur de poche Chonky Pocket n’est pas aussi extraterrestre que le CharaChorder One ; cela ressemble plus à un Gameboy avec des dents de comédie et une molette de défilement. De plus, alors que le CharaChorder One est censé atteindre jusqu’à 300 WPM dans sa configuration à 10 touches, Norris ne revendique que 50 WPM pour le Chonky Pocket (après l’entraînement).

(Crédit image : Artsey)

Il est important pour les utilisateurs et le logiciel sous-jacent de se familiariser avec l’entrée d’accords. Pour le Chonky Pocket, Norris a basé sa conception de clé mécanique à 10 touches sur la disposition artsey.io. Il a ajouté quelques touches supplémentaires à cette disposition à 8 touches, pour un accès plus rapide aux symboles liés à la programmation. On prétend que l’on peut apprendre les bases d’Artsey en « moins d’une heure » et atteindre 50 WPM après un peu de pratique.

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