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Publié pour la première fois en danois dans le cadre de la collection Contes d’hiver, « Sorrow-Acre » est la nouvelle la plus fréquemment anthologisée de Dinesen. Écrit à son retour au Danemark après plus d’une décennie en Afrique, et pendant les jours les plus sombres de la Seconde Guerre mondiale, le titre du recueil a une double signification, faisant référence à la fois au climat froid et nordique dans lequel Dinesen se trouvait et à la guerre qui faisait rage. tout autour d’elle. Comme l’écrit Thomas Whissen, « [D]Ayant reçu une épée, elle prit la seule arme qu’elle possédait – son stylo – et écrivit Contes d’hiver. Blottie derrière des rideaux occultants dans cette vieille maison pleine de courants d’air, coupée du monde, consciente d’être surveillée (des soldats allemands campaient dans son jardin), elle a recommencé à écrire des contes, la première depuis près d’une décennie.
Cependant, ce serait une erreur de lire la collection, ou « Sorrow-Acre », comme rien de plus que l’effet de ces causes. Dinesen était l’un des écrivains les plus doués d’une époque très douée, et tous ses dons sont exposés dans cette collection. Donald Hannah donne un exemple évident tiré de « Sorrow-Acre » lorsqu’il observe que « l’intérêt de Dinesen pour la peinture tout au long de sa vie se reflète… dans la manière dont son imagination dans les contes opère fréquemment en termes visuels. Elle écrit comme une peintre. La description saisissante de la campagne dans les premiers paragraphes de « Sorrow-Acre » n’en est qu’un exemple. Tout au long de « Sorrow Acre », Contes d’hiver, et en effet, tout au long de l’œuvre de sa vie, elle démontre la puissance de son imagination clairvoyante et de son élégance formelle avec un effet impressionnant, souvent époustouflant.
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