Ce que l’avenir réserve aux producteurs de pétrole de l’Ouest canadien

Épisode 157 du podcast Down to Business

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Dès son premier jour au pouvoir, le président américain Joe Biden a annulé le pipeline Keystone XL, qui, s’il avait été construit, aurait pu transporter 830 000 barils de pétrole de l’Alberta vers des raffineries du Texas et de la Louisiane.

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Cette décision fait l’objet d’un nouvel examen alors que l’inflation monte en flèche, en particulier à la pompe à essence, et que les élections américaines de mi-mandat en novembre se rapprochent de plus en plus. Déjà, l’administration Biden a discrètement assoupli les sanctions contre le Venezuela, un énorme pays producteur de pétrole dans ce qui a été considéré comme un effort pour augmenter l’offre de brut et faire baisser les prix du gaz.

L’administration Biden cherchera-t-elle également à accroître la production de pétrole du Canada, qui envoie 99 % de ses exportations de pétrole aux États-Unis ? L’épisode de Down To Business de cette semaine se concentre sur ce que l’avenir réserve aux producteurs de pétrole de l’Ouest canadien si les pipelines et autres infrastructures essentielles ne sont plus sur la table.

Parmi les invités figurent Kevin Birn, vice-président de l’analyse des matières premières S&P Global Markets à Calgary; Ben Cahill, chercheur principal au Centre d’études stratégiques et internationales à Washington, DC ; Debbie Gordon, directrice principale de RMI, une organisation à but non lucratif axée sur la transition énergétique à Washington, DC ; Samantha Gross, directrice, initiative sur la sécurité énergétique et le climat, Brookings Institution à Washington, DC ; et Greg Keoleian, directeur du Center for Sustainable Systems et professeur à l’Université du Michigan. Comme toujours, les entretiens sont édités pour plus de clarté et de brièveté.

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