Baudolino par Umberto Eco


Nous sommes en avril 1204, et Constantinople, la splendide capitale de l’empire byzantin, est saccagée et incendiée par les chevaliers de la quatrième croisade. Au milieu du carnage et de la confusion, un certain Baudolino sauve un historien et un fonctionnaire de la haute cour d’une mort certaine aux mains des guerriers en croisade et raconte sa propre histoire fantastique.

Né simple paysan du nord

Nous sommes en avril 1204, et Constantinople, la splendide capitale de l’empire byzantin, est saccagée et incendiée par les chevaliers de la quatrième croisade. Au milieu du carnage et de la confusion, un Baudolino sauve un historien et un fonctionnaire de la haute cour d’une mort certaine aux mains des guerriers en croisade et raconte sa propre histoire fantastique.

Né simple paysan dans le nord de l’Italie, Baudolino a deux dons majeurs : un talent pour l’apprentissage des langues et une aptitude à mentir. Encore enfant, il rencontre un commandant étranger dans les bois, le charme par son esprit vif et son esprit vif. Le commandant, qui s’avère être l’empereur Frédéric Barberousse, adopte Baudolino et l’envoie à l’université de Paris, où il se fait de nombreux amis intrépides et aventureux.

Poussé par les mythes et leurs propres rêveries, ce joyeux groupe part à la recherche du prêtre John, un prêtre-roi légendaire qui régnerait sur un vaste royaume de l’Est, une terre fantasmagorique de créatures étranges avec des yeux sur les épaules et la bouche sur leurs estomacs d’eunuques, de licornes et de jolies jeunes filles.

Avec des digressions éblouissantes, des astuces scandaleuses, des sentiments extraordinaires et des réflexions indirectes sur notre époque postmoderne, c’est Eco le conteur à son meilleur.



Source link