Avertissement concernant les bonbons au fentanyl émis par la police de Kingston, en Ontario.

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Plus tôt ce mois-ci, des agents ont observé une transaction de drogue au corps à corps dans la région de Williamsville et ont arrêté un individu de 60 ans.

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L’homme de 60 ans a été détenu pour une enquête sur le cautionnement et accusé de trafic d’une substance de l’annexe 1, de possession d’une substance de l’annexe 1 pour le trafic et de possession de produits de biens criminellement obtenus ne dépassant pas 5 000 $.

Les produits comestibles légaux au cannabis, qui contiennent un maximum de 10 milligrammes de THC, sont strictement réglementé et ne peut être vendu qu’en emballage neutre à l’épreuve des enfants.

Les produits comestibles légaux doivent porter le symbole normalisé du cannabis pour les produits contenant du THC et un message de mise en garde sanitaire, ne doivent pas être attrayants pour les jeunes et ne doivent pas faire d’allégations santé, en plus d’autres restrictions d’emballage, comme la couleur.

Tout produit comestible qui imite l’image de marque des marques de bonbons populaires enfreint la loi.

Plus tôt cette année, une étude menée par le Conseil national de recherches du Canada pour le compte de l’Ontario Cannabis Store (OCS) et de la Police provinciale de l’Ontario (OPP) a révélé les produits de cannabis illicites avaient des niveaux de THC inférieurs à ceux annoncés et des niveaux de pesticides plusieurs centaines de fois supérieurs aux limites de Santé Canada.

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L’étude a examiné 44 produits de cannabis comestibles, dont la moitié étaient légaux tandis que l’autre moitié était composée de produits illicites qui avaient été saisis par la Police provinciale de l’Ontario.

Les chercheurs ont découvert, en moyenne, que les produits comestibles non réglementés contenaient moins de 20 % de leur teneur en THC annoncée.

Selon l’étude, certains échantillons illégaux contenaient jusqu’à 50 fois moins de niveaux de THC annoncés. D’autres n’avaient que du THC présent à la surface du produit comestible, ce qui suggère que le THC a peut-être été pulvérisé sur un produit commercial existant.

« Aucun des échantillons illégaux n’a été à la hauteur de ce qui était annoncé sur l’étiquette », lit-on dans le rapport.

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