Accord de plaidoyer offert à une Québécoise accusée d’avoir envoyé de la ricine à Donald Trump

Pascale Ferrier aura jusqu’à fin juin pour décider d’accepter ou non l’offre

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WASHINGTON — Les procureurs des États-Unis disent avoir proposé un accord de plaidoyer à la femme de la région de Montréal accusée d’avoir envoyé du poison à l’ancien président Donald Trump.

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L’accord comprendrait les trois accusations auxquelles Pascale Ferrier fait face concernant une lettre contenant de la ricine qui a été envoyée à la Maison Blanche en 2020, ainsi que 16 accusations fédérales auxquelles elle fait face au Texas, où elle aurait envoyé du poison à plusieurs responsables de l’application des lois. .

Pascale Ferrier apparaît sur une photo de réservation de prison prise après son arrestation par le département de police de Mission à Mission, Texas, le 13 mars 2019 pour des accusations sans rapport.
Pascale Ferrier apparaît sur une photo de réservation de prison prise après son arrestation par le département de police de Mission à Mission, Texas, le 13 mars 2019 pour des accusations sans rapport. Photo du bureau du shérif du comté d’Hidalgo / document via REUTERS

Le procureur fédéral Michael Friedman a déclaré lors d’une brève comparution devant le tribunal aujourd’hui que Ferrier aura jusqu’à fin juin pour décider d’accepter ou non l’offre, dont les détails n’ont pas été divulgués.

Friedman dit que l’accord est complexe et que les accusations auxquelles Ferrier fait face sont graves, ajoutant que huit des accusations au Texas sont passibles d’une peine d’emprisonnement à perpétuité.

Ferrier a été jugé apte à subir son procès en mars.

Elle doit être de retour devant le tribunal le 30 juin.

Ce rapport de La Presse canadienne a été publié pour la première fois le 27 avril 2022.

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