À quoi ressemblait la ville de New York étouffée dans la fumée d’un feu de forêt

New York était étrangement orange mercredi alors que la fumée enveloppait la ville. La brume a dérivé des incendies de forêt qui faisaient rage au Québec, à environ 500 milles de distance, faisant des ravages sur la qualité de l’air dans le nord-est des États-Unis.

La fumée était si épaisse, New York City brièvement classé comme la ville la plus polluée au monde. L’Environmental Protection Agency a émis son avertissement le plus élevé pour la pollution, un « Code Maroon » pour la qualité de l’air dangereuse. La pollution était record fracassant mercredi, avec un indice de la qualité de l’air score de 392 vers 16h HE pour les particules fines battant un record de 174 établi un jour plus tôt (selon les records de l’EPA, qui ont commencé en 1999, Le New York Times rapports).

La pollution par les particules fines est particulièrement préoccupante car elle est suffisamment petite pour pénétrer dans les poumons et peut même se frayer un chemin dans la circulation sanguine. De plus, les particules de fumée se sont avérées jusqu’à 10 fois plus nocives pour la santé humaine que la pollution provenant d’autres sources comme les véhicules et les usines.

Photo par Amelia Holowaty Krales / The Verge

Les responsables ont conseillé aux gens de rester à l’intérieur, vidant de nombreuses rues d’une manière que la ville n’avait pas vue depuis le pic de la pandémie de covid-19. Écoles annulé les sorties sur le terrain et autres activités de plein air. L’administration fédérale de l’aviation vols retardés en raison d’une mauvaise visibilité. La ligne d’horizon de New York, obscurcie par la fumée, était à peine reconnaissable via TerreCam.

Le bord a pris quelques photos de la scène apocalyptique dans la Grosse Pomme – du ciel d’ambre aux rues désolées. Pour rester à jour, vous pouvez suivre l’outil de surveillance de la qualité de l’air de l’EPA AirNow. Ses prévisions pour jeudi sont toujours mauvaises – pas tout à fait un Code Maroon (espérons-le) mais un Code Red pour un air « malsain ».

Photo de Chris Welch / The Verge

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