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Grace apparaît dans le mariage de Caroline
Grace est la narratrice de « Caroline’s Wedding ». Elle est née en Haïti mais a grandi pendant de nombreuses années en Amérique après que son père a organisé un faux mariage afin d’obtenir la permission de rester en Amérique, amenant finalement sa famille. En tant que personne née en Haïti mais élevée en Amérique, Grace représente une sorte de pont entre sa mère très haïtienne, Ma, et sa sœur cadette, Caroline, née aux États-Unis. Pendant la période quelque peu tumultueuse autour du mariage de Caroline, Grace agit comme une sorte de médiatrice entre Caroline et Ma, qui s’oppose au choix de mari de Caroline et au manque de cérémonie associé au mariage.
Le père de Grace est décédé dix ans plus tôt d’un cancer. Il était une présence puissante dans la vie de Grace, et Grace rêve de lui chaque nuit. Souvent, elle rêve de le voir dans un champ, mais de ne pouvoir l’atteindre à cause de l’herbe qui lui arrive jusqu’aux genoux. D’autres fois, Grace rêve de voir son père lors d’une fête somptueuse, souriant avec des invités. Et un rêve a son père dans un hélicoptère sur une échelle de corde sauvant Grace d’une falaise de haute montagne. Ces rêves démontrent le profond sentiment de perte de Grace, même après toutes ces années.
Au début de l’histoire, Grace reçoit son certificat de naturalisation, devenant citoyen américain. Devenir américain a été un objectif de sa famille. Caroline a pris sa citoyenneté pour acquise, tandis que Ma pense que le nouveau statut américain de Grace lui apportera de nombreuses opportunités et avantages.
Caroline apparaît dans le mariage de Caroline
Caroline est d’origine haïtienne, mais est née en Amérique. Elle est enseignante. Elle rencontre un concierge à l’école, Eric, avec qui elle se lie d’amitié. Il lui demande un rendez-vous environ un an plus tard, et elle sort avec lui pendant dix-huit mois avant de décider de se marier.
Caroline est née sans avant-bras gauche. La famille pense que cette difformité a été causée par le coup de feu administré par un médecin de la prison à la mère de Caroline lors d’une descente d’immigration dans un atelier clandestin. Elle a pris son handicap dans la foulée et, par exemple, dans une scène, Caroline est montrée en train de manipuler des cartes dans un jeu de solitaire avec une aisance adroite. Son bras déformé provoque une gêne chez les personnes qu’elle rencontre, qui se mettent en quatre pour essayer d’éviter de le regarder ou d’en parler. Mais Caroline est complètement à l’aise avec ça, tout comme sa sœur Grace.
À l’approche du mariage, Caroline ressent une douleur au membre fantôme, un phénomène observé chez les victimes d’amputation où les amputés «sentent» encore leur membre manquant et ressentent une douleur intense. Pour soulager cette douleur, elle reçoit une prothèse de bras. Cependant, cette douleur atteint un crescendo le matin de son mariage, et Caroline commence à avoir des doutes sur le mariage. Sa mère apaise Caroline au point que Caroline trouve la force de réussir son mariage, après quoi elle se contente de sa nouvelle vie.
Ma apparaît dans le mariage de Caroline
Ma est la mère de Grace et Caroline. Elle est venue en Amérique environ vingt-cinq ans plus tôt, et est une femme d’une soixantaine d’années. Elle s’accroche aux anciennes coutumes de son Haïti natal, et cet entêtement entre souvent en conflit avec sa fille, en particulier en ce qui concerne le sujet central de l’histoire, le mariage imminent de sa fille. Elle pense que Caroline aurait dû choisir un vrai Haïtien au lieu d’un Bahaméen.
Célianne apparaît dans Les Enfants de la mer
Célianne est une adolescente sur le bateau avec le narrateur masculin d’Haïti vers l’Amérique. Elle accouche sur le bateau, mais le bébé meurt bientôt. Célianne refuse de reconnaître la mort pendant des jours. Enfin, elle jette le bébé mort par-dessus bord et le rejoint, se noyant à mort. Le reste des habitants du bateau suivent bientôt dans le voyage condamné.
Jacqueline apparaît dans Nineteen Thirty-Seven
Jacqueline est une vieille femme qui rend visite au narrateur et l’informe que la mort de sa mère est imminente. Elle est unie spirituellement à sa mère du fait de l’expérience partagée du Massacre du Persil de 1937. Elle accompagne le narrateur à la prison et assiste à l’incinération du corps de la mère.
Lamort apparaît dans The Missing Peace
Lamort est une jeune fille qui sert de guide pour rendre visite à l’Américaine Emilie, alors qu’Emilie souhaite retrouver le lieu de repos de sa mère au cimetière. Lamort porte le nom du mot français désignant la mort, car sa mère est décédée pendant l’accouchement. Emilie convainc Lamort qu’elle ne devrait pas porter un tel nom mais plutôt prendre le nom de sa mère, Marie-Madeleine.
Guy apparaît dans A Wall of Fire Rising
Guy est un ouvrier pauvre d’une sucrerie qui vit dans le bidonville et qui peut à peine subvenir aux besoins de sa famille. Il devient obsédé par la montgolfière du propriétaire du moulin et rêve de commencer une nouvelle vie dans un pays lointain en voyageant via la montgolfière. Il vole le ballon et fait un tour avant de se suicider en sautant vers sa mort.
Princesse apparaît dans Voir les choses simplement
Princesse est une jeune habitante de la ville de Ville Rose qui pose nue pour la peintre Catherine en visite. Elle a ses propres sensibilités artistiques, et son temps avec Catherine lui permet de développer ces sensibilités.
Une prostituée apparaît dans Night Women
Le narrateur anonyme est une prostituée qui divertit ce qu’elle appelle des « prétendants » dans sa maison d’une pièce. Elle partage la maison avec son fils, fruit d’une nuit avec l’un de ses prétendants. Elle aime profondément son fils et s’efforce de protéger son fils de la réalité de son existence.
Rose apparaît dans Entre la piscine et les gardénias
Rose est le bébé abandonné que le narrateur trouve près d’un égout dans la ville de Port-au-Prince. Rose est prise et soignée par le narrateur. Elle est louée pour être un bébé calme, mais le calme est la preuve d’un problème médical grave. Rose meurt bientôt et le narrateur est accusé de sorcellerie par le jardinier à cause de sa mort.
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