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Regardez, le détective/héros, sa femme, sa fille et son meilleur ami dans ce livre se promènent tous avec des boucliers invisibles. Ils doivent apparaître dans le prochain épisode, donc rien de ce que quelqu’un fait ne les tuera jamais.
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Ainsi, lorsque le mercenaire maléfique avec la ceinture noire du septième degré s’en va pour tirer sur l’un d’eux, il peut soudainement
Regardez, le détective/héros, sa femme, sa fille et son meilleur ami dans ce livre se promènent tous avec des boucliers invisibles. Ils doivent apparaître dans le prochain épisode, donc rien de ce que quelqu’un fait ne les tuera jamais.
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Par conséquent, lorsque le mercenaire maléfique avec la ceinture noire du septième degré s’en va pour tirer sur l’un d’entre eux, il semble soudainement incapable de frapper le large côté d’une grange. Quand il se bat avec un, il devient difficile de s’en soucier.
Pire encore, Burke crée un sociopathe incroyablement intéressant nommé Ronald qui parcourt le roman ressemblant à un croisement entre Michael Jackson et Charles Manson. Le lecteur le voit rarement en action, mais nous sommes assurés que c’est un type dangereux.
Et quand on voit Ronald en action… eh bien, une fille le bat, on lui confisque une arme, sa voiture est brisée. Ce type est censé être le mal ultime du livre et il est en fait un peu plus sympathique. Il fait peur, mais rien ne marche jamais pour lui.
Le livre lui-même ressemble un peu à une imposture, comme une histoire que Burke a traversé ensemble pour qu’il puisse se lancer dans une diatribe politique sur la façon dont le gouvernement et surtout la présidence ont trahi sa bien-aimée La Nouvelle-Orléans. Malheureusement, sa mémoire semble parfois un peu sélective. Il se souvient bien que Bush n’est jamais venu visiter la destruction mais il ne se souvient pas que Bush a proposé d’appeler la garde nationale et a été refoulé par le gouverneur de la Louisiane.
Je trouve toujours triste quand un roman ou un film parfaitement bon est ruiné par des auteurs qui sont plus intéressés par l’écriture d’une diatribe politique que d’une histoire.
Ma dernière plainte concernant Le démantèlement du toit en tôle c’est qu’elle a plus de coïncidences qu’une bibliothèque Charles Dickens. Commençons par Betran, la cagoule de la rue qui : 1) A violé la fille d’Otis ; 2) Tué le prêtre disparu de Dave ; 3) Frapper Cletis avec sa voiture ; et 4) vandalisé la maison de Sidney et volé ses diamants… et tout cela en une semaine ! Mec, parle de récidive ! Si ce type était mort dans l’ouragan, la Nouvelle-Orléans serait peut-être devenue l’une des villes les plus sûres des États-Unis.
OK, maintenant que tu as survécu à mon coup de gueule, allons à ma rave. Malgré ces problèmes, j’ai donné Le démantèlement du toit en tôle trois étoiles parce que James Lee Burke a un merveilleux sens des mots. D’accord, oui, parfois il a trop d’une manière merveilleuse avec les mots et il est trop impatient de décharger les deux barils pour montrer au lecteur à quel point il est intelligent ; mais il a toujours une merveilleuse facilité avec l’analogie, la description, l’ambiance, et plus encore. Ses personnages sont pleinement réalisés et en trois dimensions. Son modèle de la Nouvelle-Orléans est pratiquement vivant.
Il y a eu des moments où j’ai pensé que je pourrais donner cinq étoiles à ce livre juste en raison du talent plus qu’évident de l’auteur ; et malgré ma déception finale, je me ferai un devoir de lire un autre roman de Burke pour voir si peut-être je l’aime mieux quand il ne piétine pas son angoisse politique.
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