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« La Rhodora » a été publiée en 1847 dans Poèmes, le premier des deux volumes de poésie d’Emerson. Dans cette réponse à une question, Emerson trouve une occasion de célébrer une fleur simplement parce qu’elle « est ». Un examen plus approfondi révèle cependant que le poème est conforme aux croyances transcendantalistes d’Emerson sur l’unité mystique de l’amour de Dieu à travers toute la nature. Il parvient à apprécier la Rhodora, un arbuste à fleurs relativement commun de la Nouvelle-Angleterre, en le voyant dans son propre contexte – en le visitant chez lui – et il propose cette appréciation comme modèle pour contempler toute la nature.
Les lecteurs pourraient comparer cela à un poème antérieur de William Wordsworth, « J’ai erré seul comme un nuage », qui concerne également l’effet d’une rencontre avec des fleurs dans la nature. Wordsworth était une idole littéraire d’Emerson et son travail a profondément influencé Emerson. Pour une approche plus contemporaine mais similaire, les lecteurs pourraient également étudier certains travaux d’EE Cummings, que beaucoup considèrent comme un transcendantaliste moderne.
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