Et aujourd’hui, même lorsqu’un juge les dénonce, ils n’acceptent toujours pas leur erreur. Il n’y a pas d’excuses, de responsabilité ou de démission.
Qu’il s’agisse d’indiscrétions blackface, de problèmes liés à la gestion du sursis des poursuites contre SNC Lavalin, du spygate chinois, de problèmes d’éthique en vacances ou du scandale We Charity, Trudeau parvient toujours à patiner.
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Les règles que le gouvernement est si strict à faire respecter aux Canadiens qu’ils n’aiment pas ne semblent pas s’appliquer à eux.
Au lieu d’accepter cette perte, les libéraux ont indiqué leur désir d’obtenir une décision plus favorable de la part d’un juge plus amical, à la manière de Sunny Ways, d’un tribunal supérieur, sous la forme d’un appel.
«C’était une décision difficile à prendre», a expliqué Freeland. « Nous l’avons pris très au sérieux après beaucoup de travail acharné et de nombreuses délibérations minutieuses. Nous étions convaincus à l’époque – j’étais convaincu à l’époque – que c’était la bonne chose à faire, c’était la chose nécessaire à faire. Je reste et nous en restons convaincus.
Mais un tribunal n’est pas convaincu.
La décision de mardi envoie plusieurs messages à ce gouvernement.
Premièrement, nous ne sommes pas encore un pays communiste dans lequel chaque juge répond devant un gouvernement, lui permettant de faire ce qu’il veut, envers qui il veut et quand il le veut. De plus, n’importe quel gouvernement ne pourra pas invoquer les urgences quand bon lui semble.
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