[ad_1]
Des nuits comme celle-là ne changeront peut-être pas votre vie… mais elles resteront tout de même avec vous. Un bon souvenir sur lequel vous pouvez puiser lorsque vous passez une journée difficile. Ce livre vous affectera de la même manière.
Nous connaissons tous le principe…
Caroline emménage dans un nouveau condo et est réveillée à plusieurs reprises par la tête de lit de son voisin qui se cogne contre le mur…
Après avoir affronté la machine à sexe de l’autre côté du mur de la chambre, une amitié amour/haine commence à naître entre Caroline & son Wallbanger…
Je dis BANG !
Un péché, Wallbanger…
Un péché, c’est Bang-on Hillarious…
Un péché:
On parle d’orgasmes perdus…
Voisins chauds…
Une tension sexuelle hors norme…
Riez à haute voix jusqu’à ce que votre mari vous regarde comme si vous aviez perdu la tête…
Des personnages si originaux que vous avez l’impression de les rencontrer si jamais vous êtes à San Francisco…
Simon Parker (alias Wallbanger Wondercock)
Caroline Reynolds (alias Pink Nightie Girl)
Clive (alias Kitty Hugh Hefner)
Même ses copines sont hilarantes !
A quoi avais-je l’air en lisant ce livre ?
Plaisir et rires non-stop.
C’était une romance réconfortante, et juste ce que j’avais besoin de lire!
Laisse-moi me réchauffer et m’embrouiller pendant une seconde…
Vous savez pourquoi j’aime GoodReads.com ? Copains de livre.
Tu sais ce que j’aime d’autre ? Recommandations.
Je ne parle pas de l’algorithme général basé « Si vous avez aimé ____, essayez ____… » et je ne parle certainement pas des centaines de recommandations non sollicitées que je reçois sur la page « recommandations » (j’ignore la merde de celles-ci, BTW)…
Je parle de se faire un ami en fonction de vos choix de livres collectifs et de discuter avec eux jusqu’à ce qu’ils connaissent vraiment votre personnalité et vos préférences. « Eh bien, si vous avez aimé les personnages du livre A, et apprécié l’auteur du livre B, mais que vous détestiez l’intrigue du livre C… Vous devriez peut-être lire le livre D… »
C’est comme ça que j’ai lu Wallbanger. Bien sûr, j’ai vu que c’était un finaliste des Readers Choice Awards, et j’ai vu quelques mises à jour ici et là… Mais ce n’est que lorsque j’ai reçu une recommandation de Wendy (Wm AddictedReader&LovingTeamO) que j’ai en fait résolu d’ouvrir la copie qui a accumulé de la poussière virtuelle sur mon étagère de livres électroniques pendant des semaines. Et Sweet Baby Jesus, suis-je heureux de l’avoir fait ! Pour info, ce n’est pas la première fois qu’elle me fait une recommandation géniale… C’est ma marraine fée livresque.
Alors quelle est la morale de cette histoire ?
1. Lire Wallbanger
2. Cultivez des relations avec vos amis du livre
3. Offrez-vous quelque chose d’amusant
ET DEVINE QUOI!
Wallbanger est une série… On peut donc s’attendre à trois autres livres en 2014 !
Je vais juste m’asseoir ici et attendre ça, parce que maintenant je suis officiellement un Alice Clayton ventilateur!
Certains de mes moments préférés
(voir spoiler)
…the international house of orgasms from the other side of the wall…
She was steadfast in her belief that everyone had a soulmate.
Eh…I’d just settle for my Soul-O.
I wanted to level him with my eyes, make him beg for mercy. But no…Not Simon, Director of the International House Of Orgasms.
He
Was
Still
Smirking.
“I’m not going to spend every night listening to you try to crash your girl’s head through my wall with the force of your dick alone! No way, buddy.”
…a low voice that could melt, well, anything.
My brain was most certainly among those things, seeing as I suddenly felt it oozing out of my ears and on down to my collar.
In the span of five seconds, a thousand things happened: I saw Simon and Purina in the hallway, bags from Whole Foods in hands, key in front door. I saw Mimi at the door, barefoot and leaning (again with the leaning) in the doorway. I saw Clive rear back on his hind legs preparing to jump in a way that I’d only ever seen him do once when I hid the catnip on the top of the fridge. Babies were born, old people died, stocks were traded, and someone faked an orgasm. All in those five seconds.
God, he gave great meatball.
But as close as friends and lovers could be, there was something about belonging to someone completely that gave you roots—roots you sometimes needed when the world battled against you.
“You’re still intrigued though, aren’t you?” He grinned, turning the blue eyes loose on me.
My panties actually disintegrated.
I think O even popped her head up for a moment, like a groundhog. She took a quick glance around and pronounced it much closer to spring than she’d been in months.
Be aware of the walls you build
and what could be on the other side
Confucius, you kill me.
Holding the shoe like some kind of late-night Prince Charming to my slutty O-less Cinderella, Simon appeared in my doorway, barefoot and in his pajama bottoms.
Here’s the thing about a spit take. In the movies, they’re hysterical. In real life, they’re just messy.
He was like the best Kegel exercise ever—instant clench.
“Harem free, huh?” I breathed back, visions of Sugar Simons dancing in my head. Single Sugar Simons, Single Sugar Simons in Spain…
He was wooing me. And I was letting him woo. I wanted the woo. I deserved the woo. I needed the wow that would surely follow the woo, but for now, the woo? It was whoa.
What was crassly called “under the shirt action” became part of a romance, and something that could have been merely physical became something emotional and pure.
Simon goes commando. God bless America.
“Always take a compliment, Caroline. Always take it for the way it was intended. You girls are always so quick to twist what others say. Simply say thank you and move on.” She smiled in that quiet and wise way she had…
“It breaks my heart the way young girls pick themselves over, never thinking they’re good enough. You make sure you always remember, you’re exactly the way you’re supposed to be. Exactly. And anyone who says otherwise, well, poppycock.”
“If you don’t stop, I’m going to stop fucking you, and believe me when I say I haven’t even begun to ravage you in all the ways I’ve dreamed about.”
(hide spoiler)]
Mise à jour du 9 mai 2014 :
J’ai eu l’occasion de dire bonjour à la belle et hilarante Alice Clayton à Memphis alors qu’elle voyageait avec le Belles on Wheels Book Tour. J’ai eu une séance de photos maladroite et je lui ai fait signer un exemplaire de ce livre fabuleux pour moi !
[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>[« br »]>
[ad_2]
Source link