vendredi, novembre 8, 2024

Vols Vesper

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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer le guide : Macdonald, Helen. Vesper Flights. First Grove Atlantic, 2020.

Vesper Flights d’Helen Macdonald est un recueil de 41 essais explorant la relation entre les animaux et les humains. Les essais sont écrits à la première personne par Helen Macdonald.

Dans « Introduction », Macdonald décrit ce qui l’a inspirée à écrire les essais ci-joints.

Dans « Nids », Macdonald décrit sa collection d’objets naturels d’enfance. La seule chose qu’elle n’aimait pas prendre, c’étaient des œufs et des nids, car cette habitude mettait les oiseaux en danger.

Dans « Rien de tel qu’un cochon », lorsque Macdonald voit un sanglier dans les bois, elle réfléchit à la façon dont les humains utilisent les animaux comme emblèmes. Elle essaie de voir le sanglier pour sa vraie nature plutôt que pour sa réputation légendaire.

Dans « Inspector Calls », Macdonald montre sa maison à de nouveaux locataires potentiels et regarde leur enfant communiquer avec son perroquet.

Dans « Field Guides », Macdonald explore l’histoire des guides de terrain modernes, en commençant par ceux de son enfance.

Dans « Tekels Park », Macdonald décrit ses aventures de jeunesse dans le parc près de la maison de son enfance. Au cours des années qui ont suivi, les prairies du parc ont été détruites. Macdonald pleure la perte de ce terrain.

Dans « High-Rise », Macdonald visite l’Empire State Building pour observer les migrations d’oiseaux. Bien que ces gratte-ciel lui permettent d’observer les oiseaux, ils perturbent également leur vol.

Dans « Le troupeau humain », Macdonald se rend en Hongrie pour observer des cormorans pygmées. Une fois que Macdonald commence à considérer les troupeaux comme des membres individuels d’une famille plutôt que comme des géométries confuses, elle les apprécie davantage.

Dans « The Student’s Tale », Macdonald interroge une étudiante réfugiée. La conversation lui apprend ce qu’est l’attente et la peur humaine de l’impuissance.

Dans « Ants », la rencontre de Macdonald avec une colonne de fourmis volantes la fait réfléchir à son insignifiance dans le contexte du vaste monde naturel.

Dans « Symptomatic », Macdonald compare son histoire de migraines à la crise climatique. Elle encourage son lecteur à cesser de penser de manière apocalyptique et à croire en la possibilité d’inverser la crise climatique.

Dans « Sexe, mort, champignons », Macdonald part à la chasse aux champignons avec son amie. Cette expérience lui fait comprendre que la nature n’est pas entièrement connaissable.

Dans « Winter Woods », les promenades hivernales de Macdonald dans les bois lui font réfléchir à la riche histoire des forêts.

Dans « Eclipse », les expériences de Macdonald en tant qu’observatrice d’éclipses lui apprennent le pouvoir unificateur de la nature.

Dans « In Her Orbit », Macdonald se rend au Chili avec l’exploratrice et géologue Nathalie Cabrol. Ensemble, les femmes partent à la recherche de nouveaux organismes vivants dans des terres arides. L’histoire de Cabrol inspire les réflexions de Macdonald sur la vie et la mort.

Dans « Hares », Macdonald voit un lièvre dans sa ville natale, croyant que c’est un signe du printemps. Elle se demande ce qui se passera lorsque de telles créatures n’existeront plus.

Dans « Lost, But Catching Up », Macdonald observe un chien solitaire le jour de l’anniversaire de la mort de son père. Sa pureté lui apporte la paix.

Dans « Swan Upping », quelques jours après le Brexit, Macdonald examine l’obsession culturelle de la Grande-Bretagne pour les cygnes.

Dans « Nestboxes », Macdonald soutient que les nichoirs permettent aux individus d’apprécier facilement la nature.

Dans « Deer in the Headlights », Macdonald explique son aversion pour les recherches sur les cerfs. Après avoir étudié les statistiques sur les collisions entre cerfs et véhicules, son attitude change.

Dans « Le Faucon et la Tour », Macdonald visite la centrale électrique Poolbeg de Dublin pour voir les faucons pèlerins nicher sur les tours de la centrale. Cette expérience lui fait réfléchir à l’intersection entre l’industrie et la nature.

Dans « Vesper Flights », Macdonald décrit la vie et les habitudes des martinets. Ses rencontres avec ces oiseaux mystérieux lui font comprendre l’importance d’apprécier la vie.

Dans « In Spight of Prisons », Macdonald décrit comment les vers luisants inspirent la connexion humaine contemporaine avec la nature.

Dans « Sun Birds and Cashmere Spheres », Macdonald décrit la première fois où elle a vu des orioles.

Dans « L’Observatoire », Macdonald visite la réserve du Welney Wildfowl and Wetlands Trust. Elle y étudie l’histoire de l’observatoire et l’importance nationale du cygne.

Dans « Wicken », Macdonald visite Wicken Fen. Ce dernier fragment restant d’un écosystème marécageux perdu fait prendre conscience à Macdonald de la grande partie du terrain qui a été perdu.

Dans « Storm », les orages enseignent à Macdonald l’impuissance humaine et l’importance d’attendre.

Dans « Murmurations », tandis que Macdonald attend au bureau des passeports, elle considère les schémas de vol des oiseaux et le désir humain de liberté.

Dans « Un coucou dans la maison », Macdonald évoque le livre de Maxwell Knight sur la vie avec un coucou. L’expérience de Knight avec l’oiseau prouve la tendance humaine à croire que les animaux reflètent l’expérience humaine.

Dans « La Cigogne-flèche », Macdonald s’interroge sur son obsession d’observer les migrations d’oiseaux en ligne. Elle se rend compte que le radar ne pourra jamais capturer les mystérieux voyages des oiseaux.

Dans « Ashes », Macdonald examine la relation entre la mondialisation et la dégradation des arbres.

Dans « A Handful of Corn », Macdonald utilise ses observations d’enfance sur les blaireaux de son voisinage pour considérer les structures sociales des humains et des animaux.

Dans « Baies », alors que Macdonald se prépare pour Noël, elle examine la manière dont les humains abusent de la nature pour des raisons égoïstes.

Dans « Cherry Stones », Macdonald établit un parallèle entre l’arrivée des gros-becs et celle des immigrants et des réfugiés en quête de sécurité et d’abri.

Dans « Birds, Tabled », les expériences de Macdonald à la Bird Fair et au Bird Show inspirent son examen de l’histoire, du pouvoir et de la classe.

Dans « Hiding », Macdonald décrit le passe-temps et la culture de l’observation des animaux dans les cachettes sauvages.

Dans « Eulogy », Macdonald se souvient de son défunt ami Stu. L’amour de ce dernier pour la nature et la paix qu’il ressent après sa mort procurent à Macdonald un sentiment de paix.

Dans « Rescue », Macdonald parle du travail de son amie Judith en tant que rééducateur. Un travail comme celui de Judith est une façon de remédier à la violence humaine contre la planète.

Dans « Chèvres », Macdonald se souvient de son habitude d’enfance de pousser les chèvres.

Dans « Dispatches from the Valleys », Macdonald raconte son expérience de travail dans une ferme de faucons dans la campagne galloise. Cette expérience lui a appris la survie, l’instinct et la liberté.

Dans « The Numinous Ordinary », Macdonald utilise des références musicales pour examiner ses rencontres avec le divin.

Dans « Ce que les animaux m’ont appris », Macdonald retrace son évolution dans la compréhension des animaux depuis l’enfance jusqu’à l’âge adulte.

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