Voici les Oilers ! La mise à pied n’a pas fait dérailler l’élan d’Edmonton

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Mardi soir à Détroit, c’était exactement ce que tout le monde à Edmonton avait besoin de voir.

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Toute inquiétude qui reposait pendant neuf jours sur les lauriers ensoleillés d’une poussée de 7-0-1 avant la pause ferait dérailler l’élan des Oilers ou affaiblirait leur détermination a été mise au repos, avec les Red Wings, lors du premier match retour.

Les gardiens de but, les équipes spéciales, le score en profondeur, l’agressivité et la faim étaient tous au rendez-vous dans une décision de 5-2 qui a vu les Oilers reprendre exactement là où ils s’étaient arrêtés avant la semaine de congé/pause des étoiles.

Voici cinq plats à emporter de mardi soir:

TEMPS GAGNANT

Tout comme la saison dernière à cette époque, lorsqu’il a fallu licencier un entraîneur pour attirer leur attention, les Oilers sont en train de passer d’une équipe unidimensionnelle et sujette aux défaillances, luttant pour surpasser les lacunes dans la gestion de la rondelle, la couverture de la zone D et le gardien de but, à ce que nous voyons maintenant – un club qui se prépare pour les séries éliminatoires.

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Ils jouent un jeu plus difficile et plus complet et gagnent de la bonne manière, avec une moyenne de 5,0 buts pour et 2,3 buts contre lors de leur récente poussée. Avec la Caroline (9-0-1) et le New Jersey (8-1-1), les Oilers, 8-1-1, avec leur dernière défaite réglementaire le 9 janvier, sont l’équipe la plus chaude de la LNH en ce moment.

Avec Vegas (3-5-2), Seattle et Los Angeles (tous deux 5-4-1) perdant du terrain dans la voie lente, Edmonton pourrait être au sommet de la division Pacifique au moment où l’équipe rentrera chez elle après une tournée de quatre matchs de la cave de la Conférence Est.

KANE EST DE RETOUR

Il lui a fallu quelques matchs pour s’acclimater, ce à quoi tout le monde s’attendait après neuf semaines passées à réhabiliter un poignet réparé chirurgicalement, mais le voir foncer au centre de la tempête mardi soir est important pour les Oilers.

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C’était l’ancien Evander Kane. Oubliez avoir marqué deux fois lors des deux derniers matchs – le but 6-2 contre Chicago et le but 5-2 à Detroit n’a pas fait beaucoup de différence dans les deux victoires – mais son sens du jeu agressif et conflictuel a entraîné toute l’équipe dans le combat.

Les buts d’embrayage vont venir, mais voir l’ancien Kane commencer à réapparaître illustre, une fois de plus, à quel point sa présence et sa personnalité signifient pour cette équipe.

GRÂCE SALVATRICE

Si ce n’est pour la capacité de Jack Campbell à se retirer de sa chute libre en début de saison, les Oilers ne font pas cette accusation. Son retour en forme (8-0-0 à ses huit derniers départs avec une moyenne de 2,00 et un pourcentage d’arrêts de 0,919) est la raison pour laquelle Edmonton est de retour dans la conversation entre les prétendants de la Conférence de l’Ouest.

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Il a commencé cette chose quand il a été propulsé dans le poste de départ pour trois départs consécutifs sur la route en janvier alors que Stuart Skinner assistait à la naissance de son premier enfant.

C’était une bifurcation sur la route pour Campbell (qui a affiché des pourcentages d’arrêts de .870, .833, .906, .886, .882 et .909 lors de ses six départs précédents) ainsi que pour les Oilers, qui n’étaient que quatre matchs plus de .500 et s’accrochant à une place générique.

Il est allé 3-0 et n’a pas perdu depuis.

Vous n’irez nulle part sans deux solides gardiens de but et avec Skinner 4-5-3 à ses 12 derniers matchs, le recul personnel de Campbell aurait peut-être sauvé la saison.

RENFORCÉ

Battre les Oilers ne signifie pas seulement trouver un moyen d’éliminer Connor McDavid, Leon Draisaitl, Zach Hyman, Ryan Nugent-Hopkins et le meilleur avantage numérique de l’histoire de la LNH.

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Avec Kane et Vincent Desharnais embrassant le rôle d’intimidateur, les adversaires doivent maintenant faire face à une nouvelle ride – une équipe mordante et tranchante qui est parfaitement disposée à déplacer un match dans l’allée.

Ajouter quelques joueurs qui adoptent ce style est également contagieux. Les Oilers qui n’avaient pas l’habitude de s’affirmer physiquement souscrivent à la mentalité de meute nécessaire pour survivre jusqu’au bout et au-delà.

Edmonton a toujours été une équipe qui a été exclue de matchs comme ceux-ci, mais il y a maintenant une colonne vertébrale beaucoup plus solide dans cette équipe.

ONZE ET SEPT

L’alignement de 11 attaquants et sept défenseurs n’est pas pour tout le monde — c’est un signe que votre équipe manque de profondeur au quatrième trio — mais ça marche pour Edmonton.

Les Oilers ont une fiche de 9-1-2 depuis qu’ils sont passés à la nouvelle formation et l’idée d’être l’attaquant impair se traduit par une vigueur renouvelée de leurs six derniers.

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Warren Foegele, avec deux buts lors du dernier match, Ryan McLeod (cinq buts en huit matchs) et Derek Ryan (deux buts lors de ses six derniers) jouent tous avec un ressort supplémentaire dans leur démarche. Même Jesse Puljujarvi a montré des signes de vie offensive lorsqu’il a été réinséré après avoir été une égratignure saine.

Hasard? Pas selon l’entraîneur-chef Jay Woodcroft.

« Aller à 11 et 7 nous a obligés à prendre des décisions difficiles et c’est devenu vraiment compétitif d’être dans notre alignement et nous avons vu de bons résultats à cause de cela », a-t-il déclaré. « Comprendre que peut-être votre place dans la formation n’est pas seulement une garantie, cela tire le meilleur des gens. »

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Sur Twitter : @Rob_Tychkowski