Vers une bonne terre un résumé du roman et une description du guide d’étude


Karl Oskar Nilson, sa femme Kristina et leurs trois enfants arrivent en Amérique au début de l’histoire. La famille vient de Suède et le frère cadet de Karl Oskar, Robert, fait également partie du groupe. Ils voyagent avec plusieurs autres familles, dont l’oncle de Kristina, Danjel, et ses enfants. Il est veuf, sa femme étant décédée pendant le passage. Plusieurs autres voyagent avec le groupe, dont Ulrika qui a une mauvaise réputation dans leur village natal en Suède, et la fille illégitime d’Ulrika. Ulrika intervient pour aider Danjel avec ses enfants après la mort de sa femme et Kristina est la première à se rendre compte qu’ils doivent accepter Ulrika et ses efforts pour se refaire une vie en Amérique. Kristina et Ulrika deviennent proches pendant le voyage et c’est Ulrika qui aide Kristina lors de la naissance de son fils, le premier du groupe né en Amérique.

Le groupe arrive en Amérique et commence le voyage par voie terrestre vers le Minnesota. Ils choisissent cette destination car c’est la maison du fils d’un membre du groupe. Ils voyagent en train et en bateau à vapeur. Le train rend la plupart du groupe nerveux mais Ulrika adore ça. Le bateau à vapeur les emmène sur le fleuve Mississippi et ils doivent parcourir les trente derniers kilomètres jusqu’au petit village de Taylor Falls. Là, ils découvrent que le fils, Anders Mansson, vit dans une petite maison qui n’est guère plus qu’un taudis et qu’il a défriché peu de terrain depuis qu’il y est.

Les hommes du groupe choisissent leurs maisons près de Taylor Falls, mais Karl Oskar s’éloigne de plusieurs kilomètres de la colonie, choisissant une ferme près d’un lac qui a déjà été perturbé par des Blancs. Karl Oskar est un homme travailleur et prend très au sérieux ses responsabilités envers sa famille. Il croit qu’il peut surmonter n’importe quel obstacle par un travail acharné. Il s’inquiète de chaque décision, y compris quand utiliser les précieux clous qu’il parvient à acheter avec ses derniers dollars. Karl passe tout l’hiver à construire des outils et des meubles et à préparer la plantation du printemps. L’hiver devient difficile avec la famille qui dépend du gibier des forêts voisines et des poissons du lac comme principaux aliments de base. À un moment donné, la famille manque de farine pour le pain. N’ayant que peu à manger en dehors du gibier et du poisson, le pain est nécessaire au bien-être de la famille. Karl Oskar parcourt des kilomètres pour se rendre en ville et meurt presque dans le froid de la nuit.

Kristina, tout en soutenant la décision de son mari de donner une nouvelle vie à la famille, a le mal du pays. Karl Oskar se rend compte qu’elle est triste mais ne comprend pas l’étendue de son mal du pays pendant un certain temps. Il essaie de la consoler en lui promettant que leur vie sera meilleure, mais il faut du temps avant que Kristina ne puisse surmonter les profondeurs de sa tristesse. Même alors, sa famille et son ancienne maison lui manquent toujours et ne peuvent s’empêcher de se référer à la Suède comme à leur « maison ».



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